Un combat oppose toujours deux camps (jamais plus ni moins). Un combat commence lorsque des armées de famille ennemies sont empilées. On considère qu'une armée déjà présente sur la case depuis au moins 15 jours est en situation de défenseur (à ne pas confondre avec les assiégés dans le cas d'un siège).
Les combats se déroulent au tour par tour à raison d'un tour chaque jour IG. Chaque tour suit le même schéma.
On commence par calculer le nombre de coups portés par chaque camp : il s'agit simplement de la somme des coups portés par chaque régiment. Le nombre de coups infligés par un régiment vaut :
son effectif,
- multiplié par le facteur de combat,
- divisé par deux si le régiment a moins d'un coeur de moral,
- augmenté de 50% si le régiment a 5 coeurs complets,
- multiplié par un facteur aléatoire (entre 0 et 1)
- augmenté de 10% si l'armée est contrôlée par un personnage martial (partiellement implémenté)
- on multiplie ce nombre de coup par deux pour les assiégés,
- on divise par trois pour la cavalerie et la chevalerie,
- en hiver les armées qui ne sont pas en position de défenseur (arrivée sur la case il y a moins de 15 jours) perdent 20%
- chaque armée va recevoir un nombre de coups proportionnellement au nombre d'hommes qu'elle posséde au sein de son camp (s'il n'y a qu'une armée elle prendra la totalité des coups, si elle représente 50% des effectifs du camps elle en prendra la moitiée).
- dans le cas d'un assaut dans un siege, les armées des assiégés ignorent 2/3 des coups qui leur sont portés.
- une armée perd un homme pour 4 coups reçus.
- les pertes sont affectées régiment par régiment : on tire au hasard un régiment et on lui applique les pertes. S'il ne peut tout encaisser, on en tire un autre au hasard et il prend ce qui reste à appliquer. On recommence tant qu'il reste des pertes à appliquer.
- ((ennemis tués - alliés morts)/effectifs restants) * 2,5 coeurs
- Ainsi perdre la moitié de ses effectifs fait perdre 2,5 coeurs (et en fait gagner autant au camps d'en face)
- Si les deux camps perdent autant d'hommes et ont autant d'effectif, le moral n'évolue pas