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Le journal des chroniqueurs inconnus

Pythagoras IV

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#1 Sandro

Sandro

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Posted 10 July 2017 - 07:34 PM

Chronique d'un chevalier normand l'an de Grâce 1107:

 

On écrit l'an de grâce 1107. Ca fait seulement une cinquantaine d'année depuis la fameuse année 1066 et pourtant il me semble que cela date seulement d'hier. La fameuse bataille de Hastings. Une bataille qui dura neuf heures, la plus longue jamais battu après la chute de Rome et dont le sort de l'Angleterre en dépandait. Le soufflement de mon cheval, le battement de mon coeur, les hurlements des malchanceux qui se trouvèrent sur notre passage, les flèches qui tombèrent du ciel, le sol à la couleur du sang et la rage du combattant. Tout cela restera gravé dans ma mémoire à jamais. Mais revenons aux faits.

A l'époque, il n'y avait pas seulement Guillaume, duc de Normandie, qui avait en tête de conquérir les terres fertiles de la grande île. Car non une, mais deux invasions étaient en cours pour la conquête de l'Angleterre en cette même année. Cet autre prétendant n'était personne d'autre que Harald Hardrada, roi de Norvège, ancien mercenaire et chef de la garde impériale de l'Empereur byzantin à Contanstinople. Sa réputation était féroce tout comme ses exploits qui sont devenu légendaire parmi les vikings. Mais le plus fascinant de tout et probablement que son rival, Guillaume, était également un descendant directe d'une noble dynastie viking qui est venu s'installer en Normandie un siècle plus tôt. Nous connaissons tous les exploits de Guillaume le Conquérant, mon  suzerain dont j'ai loyalement servi jusqu'à la fin de ses jours, mais sachez que le sort de la bataille de Hastings était plus que incertain. Nous les Normans sommes arrivés après les vikings qui ont déjà battu plus au nord contre les forces anglaises. Heuresement pour nous, Harald Hardradda perdit sa vie lors de la bataille et les vikings, démoralisé, retournèrent en Norvège. Les forces anglaises triomphantes, mais fatigués et plus faibles qu'auparavant, perdirent de justesse contre les nôtres.

La mort de Harald Hardradda marqua la fin d'une ère, l'ère de la terreur viking. C'est ce que moi et mes compagnons pensèrent. Et pourtant il n'y a rien de plus incertain aujourd'hui que cela. La Norvège a su se stabiliser et c'est la Scandinavie toute entière qui semble se rallier. Les peuples scandinaves furent toujours divisés et les hommes partirent rarement en grands nombre. Et maintenant on me dit que la famille de Härjedalen fut proclamé roi de Norvège! Je tremble en pensant ce que cela pourrait bien signifier. L'Europe, encore bien trop divisé, n'est pas prête pour la monté d'une nouvelle puissance. Si nous réagissons pas il se pourrait bien qu'une nouvelle vague venu du nord nous surprenne!

 

(Bon, l'idée c'est d'écrire toujours du point de vu d'un chroniqueur afin de donner un apercu de la situation du jeu tout en racontant les faits. Vous pouvez évidemment aussi raconter sur votre puissante famille si vous voulez. Tout le monde est inviter à écrire =D!)



#2 Torres

Torres

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Posted 10 July 2017 - 10:47 PM

Chronique de Bretagne an de grâce 1107:

Cela faisait plusieurs jours que j'avais envoyé quelques hommes dans les comtés et duchés voisins de sortes à avoir quelques renseignement sur eux, il n'y a en effet pas duc qui se respecte qui n'ai jamais regardé d'un œil assez critique l'évolution de ses et il faut dire que cela m'amusait un peu. En effet j'étais rassuré mes voisins ne représentait pas une grande menace pour mon évolution, c'était prometteur ! MAIS sécurité oblige j'avais convié à mon palais quelques druides afin qu'il m'aident à voir plus clair les années à venir, c'était alors que j'appris d'une façon assez ... énigmatique, comme il était leur habitude depuis la nuit des temps, que mon regard bien qu'avisé ne s'étendait pas assez loin et que la menace pouvait bien ne pas être la ou mon regard se posait!

C'est alors que je fis envoyé des hommes dans toutes l’Europe armées de capes et précieuses runes sensés les protéger lors de leur périples, ils devaient me rapporter toutes nouvelles intéressantes qui se présenterai, aucune exception ne devant être faite ! Quelques mois plus tard je reçu déjà quelques retours, il se disait que les géants du nord s'organisait en royaume, à cette nouvelle je rît, - Des vikings un royaume ? Nan! laissez moi rire, ces barbares ne sont bon qu'a se battre à quoi leur servirait un royaume ? - Il se disait aussi que chez les croates il y'en avait un qui semblait plutôt actif et qui en toute discrétion consolidait son pouvoir en annexant ses voisins à cette nouvelle là je m’inquiéta - Est-il possible que la prédiction des druides parle de ce comte? il me faudra me me renseigner sur ses projets à celui là - Certains envoyés revinrent inquiets aussi parlant d'un duc Germain qui faisait ravage auprès de ses voisins
-Croate et Maintenant Germains? D’où peut bien venir la menace, je vais devoir le surveillé aussi c'lui là -

Mais la surprise la plus grande fut lorsque le j'appris avec énormément d'étonnement que le royaume des vikings était formé

-IMPOSSIBLE!!! ABSOLUMENT IMPOSSIBLE!
- mais monseigneur c'est bien ce qui est annoncé, c'est officiel !
-Tadig* ne vous inquiétez pas ils sont encore loin et vous aurez y tout le temps de vous préparé s'il tentent l'assaut sans oublier qu'il y'a encore les germains entre lui et vous et si même cela ne l'arrête pas alors nos épées le fera ployez devant vous !

Mon regard calmé se posa alors sur ma progéniture, mon descendant et le futur héritier de cette terre que je travaillait si hardiment à faire prospéré pour lui et ses frères

-mab* je me reconnais en toi quand j'avais ton âge, c'est alors que j’accédai au pouvoir, toi tu n'as pas cette chance mais par la grâce des dieux, Ankou n'est pas venu me prendre avant que je ne te vois emplie de tant de sagesse ! Mon héritage est assuré en tes main

J’allai alors tranquillement dans mon bureau et j’organisai ce qui devait permettre de consolider mon petit fief de façon assez durable c'est ainsi qu'au début de l'an 1108 j’ordonnai la construction de terrain d’entraînement pour former des soldats et qu'un coursier fut mis en route pour le comté de Pécs alors seul fournisseur d'armement afin de s'en procurer une 30 aine et à mon voisinage du moins à ceux qui paraissait donner plus de signe de vie que le reste je leur fit parvenir un courrier dont l'objet était de les inviter à une discussion tout à fait anodine afin d'en apprendre plus sur leur prétention, il se dis que tout homme avec une prétention peut se voir acheté et s'il fallait la jouer fine au début j'allai toute même prendre le temps pour en connaître assez sur leur ambition. Quant au reste ceux qui se faisait passé pour mort dès que la construction, ils se devront de donner signe de vie ou alors visite sera rendu chez eux et soumission sera faite sans préavis ultérieur !

 

Tadig -> père

mab -> fils


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#3 Radnar

Radnar

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Posted 11 July 2017 - 03:05 PM

​Chronique de Norvège an de Grâce 1108:

 

l'après mort du chef créateur de la famille Korneli de Härjedalen.

 

​Voilà maintenant bientôt 8 années que mon père est parti au large brûlé sur son Tumulus* tel était notre coutume. Lui qui à toujours rêvé de voir un jour la Norvège comme un Royaume sain et même en alliance du Nord (Scandinavie), je lui avais promis dès lors que je prendrais la tête de la famille que je ferais de mon mieux afin d'unifier au plus vite et dans le respect de tous les Vikings !

​Très vite après mes deux batailles victorieuses sur le Comté de Namdalen et le Comté de Jämtland j'envoyais mes meilleurs homme de mains échanger et négocier avec mes voisins. Plusieurs mois s'étaient écoulés sans nouvelle de mes hommes de mains ... Mais à la veille de l'an 1106, malgré l'hiver encore plus froid et difficile, mes hommes étaient de retour ...

 

​- Monseigneur Lodbrock, nous comptons parmi nos alliés en Norvège 4 seigneurs sur 5 ! Le derniers Harlogaland n'a pas souhaitez nous ouvrir ses portes ! En ce qui concerne la Suède, 3 seigneurs sur 6 sont parmi nos rangs. Nous comptons une avance énorme sur le reste de l'Europe, il faudrait en profiter.

 

​- Bjorn, merci pour ce bon retour parmi nos terres, nous allons donc pouvoir déjà proclamer le royaume de Norvège, 1er de la nouvelle Scandinavie en marche ! Malheureusement pour les seigneurs sédentaires, s'ils ne répondent pas à l'appel de l'alliance nous seront contraint d'y aller par la force des choses. 

​Mon ami,​ il se mit à rire​, laissons pour le moment nos ami(e)s d'Europe nous avons mieux à faire tu verras.

 

​l'année 1108 écoulée, le Royaume de Norvège venait de prendre forme et il était stable, car seulement un seigneur semblait ne pas vouloir répondre au appel du demi-Dieu, mais cela n'était qu'une question de temps. Ma mission maintenant est d'aider mon fidèle vassal, le seigneur d'Oppland à devenir Roy de Suède, il possède déjà 3 seigneuries sur les 7. C'est un objectif essentiel à la création de l'Alliance Scandinave.

 

Mai de l'an de Grâce 1108:

 

​Maintenant près d'une année complète que le nouveau Royaume de Norvège était sur pied et mes hommes de mains me rapportaient à plusieurs reprises que plusieurs seigneurs d'Europe s'inquiétaient de voir le peuple vikings organisé et que cela dérangeait.

​En effet, le seigneur de Basse-Lotharingie à accéléré sa prise de seigneurie neutre dans son secteur, de même pour le seigneur de Pecs ou encore le seigneur de Bohème.

En revanche, le seigneur de Bretagne lui, aurait entrepris des démarches afin de contacter un maximum de seigneur François et leur proposé d'unifier leur force afin d'être le second royaume du Rex Romanorum. 

 

- Mon Roy, mon Roy ! Je viens à vous car il parait que depuis la création du nouveau Royaume de Norvège et un bon nombre d'allié à nos côtés, le reste de l'Europe semble inquiète et active leur mobilisation ! Je pense à nos voisins germains, et au François qui commence à prendre de la place ! Devons-nous faire appel à plus d'hommes et remettre sur pieds nos plus grandes armées qui leur font si peur ? Avec vous au pouvoir rien ne peu nous arriver ...

 

​- J'ai entendu cela également, tu me le confirmes donc  ...

 

- Oui.

 

​- Hummmm ... tâchons de nous "Civilisez" mot que ces hommes aiment bien utiliser ! Observons leur mouvements. S'ils deviennent trop important ou menaçant pour nous alors là nous interviendrons. Mais gardons l'avance que nous avons sur eux, nous sommes organisé, riche et possédons la plus grosse armées du Royaume Rex Romanorum ! ​S'il le faut, j'irais échanger avec nos voisins. Mais je t'invite à retourner en leurs terres voir ce qu'il s'y passe encore.

 

Je repartais prier Odin* père de tous. Je préparais également la suite de l'évolution du nouveau Royaume de Norvège ...

 

 

Tumulus*: petite embarcation où sont inhumé les défunts vikings au large de la mer du Nord.

Odin*:  dieu souverain de la mythologie nordique, c'est un dieu de la guerre (victorieuse). Appelé « Père-de-tout », il est le créateur de la terre et de l'humanité, et le père de la majorité des dieux, sa colère est crainte par les humains.


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#4 Sandro

Sandro

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Posted 11 July 2017 - 04:23 PM

Chronique de Bohême l'an de Grâce 1108:

 

J'observais les soldats sortir de la ville quand mon père arriva par derrière. C'était un beau jour d'été et la ville était bondé de marchands venu des quatre coins de l'Europe. Ceci était l'oeuvre de mon  grand-père, Pask de Bohême. Il a toujours voulu le bonheur de son peuple et croyait en la paix et la prospérité. Un homme pacifique, calme et humble. Il était le contraire de mon père qui était un homme dont l'aventure l'attira comme un ément. C'était un homme fière et juste. Il n'était pas forcément de grande taille, mais était un grand guerrier grâce à sa force et son agilité et sa réputation était féroce parmi les soldats. Il paraît qu'après une longue dispute avec mon grand-père qui ne tolérait pas le côté chevaleresque de mon père, que ce dernier soit parti avec une compagnie de mercenaire qui passa notre ville. Il revena seulement trois ans plus tard alors que tout le monde le croya perdu. Cela est arrivé alors qu'il avait le même âge que moi, il y a maintenant plus de 15 ans. Mon père se mit à côté de moi regardant également les soldats s'éloigner de nous.

 

- Ma fille, tu es maintenant adulte. Tu as le droit de savoir la raison pour laquelle j'ai décidé d'engager cette compagnie de mercenaire. Il est temps pour nous d'aggrandir nos terres et montrer à tout le monde que nous sommes à craindre. Nous sommes riche, mais l'argent ne sera pas suffissant. Une armée sera nécessaire pour avoir le respect de nos voisins hongrois, germains et croate. Ton grand-père était un grand homme, mais sa vision des choses n'allait pas avec celle de notre temps. La richesse provient surtout des terres qu'on conquit et les peuples qu'on soumet, la ville de Prague ne peut pas rivaliser avec un seigneur ayant trois fois plus de sujets que nous. Pourquoi ma décision de corriger cela et de rattraper notre retard.

 

- J'ai aussi entendu que le chef de la famille de Herjädalen fut proclamé roi de Norvège et qu'une alliance Skandinave est en cours comme on en a jamais vu auparavant.

 

- En effet, la Norvège a un roi et la Skandinavie un meneur. Il est encore trop tôt pour eux de marcher vers le sud, mais le temps viendra. C'est pour ca que j'ai quelque chose à te dire qui est extrêment important pour l'avenir de notre famille et peut-être aussi l'avenir de l'Europe. Reuna, tu es l'héritière de cette famille. Nous sommes géographiquement une dynastie se trouvant au pleins milieu de l'Europe et c'est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas nous abstenir des choses qui se passe autour de nous. Cela dit, un jour tu seras obliger de choisir un camp. Il y a la Germanie qui voudra de nous, il y aura la Croatie qui voudra de nous et même le Royaume du Nord qui voudra forcément de nous s'ils ont l'intention de venir jusqu'ici. Ce que tu dois retenir est ceci: Une fois que tu as choisi ton camp, tu ne la quittes pas. Tu protégera tes alliés et eux te protégeront au retour et tu te battra jusqu'au boût à leur côté. C'est pour ca, choisi très bien ton camp. La nationalité n'a aucune importance tant que nos alliés peuvent garantir la sécurité de notre peuple. Et puis ne laisse pas ton mari t'influencer, n'oublies pas que c'est...

 

- ... la force et l'honneur qui font la gloire d'une famille. Je sais père.

 

Mon père me regarda intentivement et sourit. Il savait qu'il pouvait compter sur moi et que notre dynastie sera entre bonnes mains une fois que son tour arrivera de quitter ce monde. Sans dire une môt, on regarda les soldats disparaître à l'horizon dans un nuage de poussière.



#5 Isaac

Isaac

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Posted 12 July 2017 - 04:39 PM

Château de Kalmar, le 15 septembre de l'an de grasce 1109.

 

Depuis ses appartements privés, Eflam contemplait le paysage qui s'étendait devant lui. Du haut de la tour, on pouvait apercevoir la vaste forêt de Småland qui couvrait une bonne partie du territoire. Un peu plus à l'ouest, se trouvait l'un des nombreux lacs que comptait la province. Durant la majeure partie de l'année, ce dernier était complètement recouvert de glace. Le Comte de Småland avait pris pour habitude de se dresser devant la fenêtre et se laissait envoûter par la beauté du Grand Nord. Il pouvait rester de longues minutes ainsi, immobile, perdu dans ses pensées. Du haut de ses 72 ans, Eflam était encore vigoureux et en bonne santé. Mais il savait aussi qu'il avait, depuis longtemps, dépassé l'espérance de vie moyenne de ses semblables et que tôt ou tard, il n'allait plus pouvoir profiter de ce décor nordique. Alors, il fallait s'assurer de transmettre cet héritage à ses enfants et leur assurer un avenir radieux.

 

En ce début du XIIème siècle, l'Europe était en pleine effervescence. Un peu partout, des guerres éclataient, des terres étaient annexées, de nouveaux bâtiments se construisaient, de nouvelles technologies étaient découvertes... Alors que jusque là, le vieux continent était littéralement plongé dans une longue hibernation, morcelé en petits territoires sous-développés ; c'était désormais un véritable bouleversement qui était en train de se produire. Une nouvelle ère allait commencer.

 

Conscient des opportunités qui s'offraient à lui, Eflam de Småland tenait à ce que sa famille emboîte le pas des autres Maisons européennes les plus avancées. Contrairement à de nombreux comtes et ducs qui avaient, très tôt, choisi la voie des armes ; le vieux scandinave avait préféré quant à lui investir dans l'économie. Ainsi, il fit construire une imposante foire en plein centre de sa capitale. Rapidement, Kalmar devint la plus importante ville marchande de tout le Nord. Grâce au commerce florissant qui fit la richesse de la province, Småland attira de plus en plus de monde, venu principalement des autres comtés scandinaves. Chacun se sentait le bienvenu et il y régnait une ambiance conviviale tellement le brassage culturel entre norvégiens, suédois et danois était vieux de longues générations. Un étranger aurait sans doute du mal à différencier les uns des autres. On avait l'impression qu'il s'agissait finalement d'un même et unique peuple.

 

Les jours passèrent et le vieillard tomba brusquement malade fin Septembre. Les meilleurs médicastres de toute la Scandinavie furent dépêchés sur place. Mais aucun d'eux n'avait remède aux maux du Comte.

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#6 Sandro

Sandro

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Posted 12 July 2017 - 06:51 PM

Chronique de Bohême l'an de grâce 1109:

 

Dans la cours du château on entendît le bruit des épées qui tombèrent l'un contre l'autre, le brisement des boucliers et le fanfare des trompettes qui annoncèrent l'arrivé des combattants. On avait organisé un tournoi afin de célébrer la prise de la ville de Moravie. Dans la ville d'autres festivités avaient lieu et on y trouva marchand ambulant vendant sucreries et fruits exotiques venant d'Espagne ou de Constantinople, des cracheurs de feu dont leurs flammes atteignirent le haut des toits des maison de la ville et des troubadours qui vinrent chanter chansons racontant la grandeur de la ville de Prague et de son Duc bien aimé. Au tournoi on trouva la noblesse locale qui tenta de faire ses preuves. Certains d'entre eux étaient jeunes et on voyait brûler la flamme de la bravoure des inconscients dans leurs yeux, ceux qui ne connaissent pas encore les atrocités de la guerre et le mal qu'elle peut induire. Certains d'entre eux étaient plus âgé et avec les années la prudence et le sang-froid d'un guerrier expérimenté s'est gravé dans leur visage, celui qui sait que la guerre n'est pas un jeu d'enfant et dont les conséquences peuvent être néfaste.

C'est ainsi que se déroulait le tournoi et dont les épreuves divers et dangereuses, certains des prétendants perdirent leurs vies, ravissaient le public. Tout d'un coup, Madeg de Bohême, Duc et futur Prince de la Bohême, se leva. Les combats s'arrêtèrent immédiatement et tout le monde attendait attentivement ce que leur noble suzerain avait bien à dire en ce beau jour.

 

- Mes chères amis, je suis désolé d'interrompre le combat, mais je viens de recevoir une nouvelle, que j'aimerais bien partager avec vous de la part de mon frère qui est parti, comme vous le savez tous, à la conquête de Schwyz afin de donner la ville à nos amis germains de la famille de Lothaire. Il vient de me donner la bonne nouvelle que les troupes de notre ami viennent de prendre il y a peu la ville bavière de Ratisbonne. Cette ville nous sera donner en échange de Schwyz et nous aurons ainsi agrandi une fois de plus nos terres et ainsi assurer une fois de plus notre pouvoir. Je souhaite donc lever mon verre avec vous pour fêter ce jour glorieux au nom de Prague, au nom de la Bohême et au nom de l'amitié entre ma famille et celle de Lothaire.

 

Et c'est ainsi que sous le tonnerre des trompettes et l’applaudissement du public les jeux reprirent de plus belles en ce beau jour de l’an de grâce 1109.



#7 Torres

Torres

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Posted 12 July 2017 - 10:54 PM

Chronique de Bretagne Décembre de l'an de grâce 1109:

 

Tout grand homme a besoin d'un plus petit que soit, c'est ce que disais un de ces grands parleur qu'on aime à invité chez sois pour que la soirée ne se passe pas dans un de ses silences de funérailles. Il était Décembre et Décembre en Bretagne n'était pas toujours très clément c'est d'ailleurs la seul chose que l'on partageait avec ces... faibles normand. La nouvelle année approchant cela annonçait de très bonne nouvelles ce qui m'avais poussé autant que le froid d'ailleurs à organisé quelques jeux. L'année avait été rude et pour faire oublier aux bretons les pertes de leur frères d'armes quoiqu'il se furent brillamment sorti dans le feux de la bataille,rien de mieux que des jeux. Mais plus que des jeux ce qui allait pimenté le plus la parti serait les enjeux aussi ce fut au milieu d'une forêt bretonne préalablement préparée pour l'occasion que j'avais convié mon peuple se faisant de plus en plus nombreux.

 

Nobles bretons, fier descendants des celtes, fils des armes ! Comme vous le savez deux de mes petits fils viennent d'entrer en age de se marié et il est connu depuis des siècles déjà que les chefs de clans de notre valeureuse civilisation descendent d'homme qui ont par le passé prouver leur valeur! qui imposèrent le respect auprès de leur paire, c'est ainsi que mon grand-père fut mit sur le trône et quoique les temps aient changés que serait une civilisation sans ses traditions ! c'est pourquoi ce jour mes petits-fils se verront épousé celui ou celle d'entre vous aura su montrer à ses pairs qu'il faille ployer le genoux lorsqu'il s'avance vers eux. Prouvez moi votre valeur noble bretons !

 

Lorsque j’ eut fini j allait m'asseoir sur siège en bois fraîchement sculpter pour l'occasion, à sa droite se tenait mon héritier, le reste de mon conseil avait été disposé derrière moi assez proche pour que je  puisse comprenne même un murmure provenant de ceux-ci en effet quoique j ' organisa de cette petite distraction, il ne me fallait pas perdre ne serait-ce qu'une seconde les points important à soulever de cette année passé. Deux seigneuries avaient rejoins mon giron personnelle et une celui de mon vassal de Blois. Quoiqu'elle ne fusse pas Bretonne la famille de Blois avait quelques chose d'assez rassurant c'était un partenaire fiable et un fin stratège. Quant à la Famille d'Artois, il lui fallait encore faire ses preuves ceci bien que j' étais heureux qu'elle se soit joint à la foi Bretonne, après tout c'était son meilleur intérêt et le Breton que j'étais lui reconnaissait une certaine utilité, en effet il était un point stratégique et donc un allié à avoir a tout prix, tout comme les Flandres qui à n'en point se douter finirait par rejoindre le giron celtes par les moyens qui se jugerai nécessaires, cela passait évidemment par la diplomatie mais si diplomatie faisait faux bonds, il n'est pas dans le sang d'un Breton de laisser ce qui est à lui sans rechigner.

 

Par ailleurs on ne pouvait pas non plus négliger l'avancée du roi de Norvège qui bien que se faisant discret sortant de tant à autre, faisait parler de lui, on dis même qu’insatisfait par ses prises en Norvège il avait commencer à Annexer la suède, la crainte était maintenant que ce roi descende en Europe ou pire vienne en France c'est pourquoi avant cela la France devait s'être déjà constituée une solide alliance et ramener toutes ses terres dans on giron et elle comptait bien accélérer le pas. Ceci dit bien que le roi norvégien s'étendant allègrement sur la péninsule nordique, je n'avais pas pu receuillir plus d'information en rapport avec les autres seigneurs vikings enfin presque il y' avait toute même Oppland qui faisait de temps en temps quelques surprises en acquérant quelques terres mais hormis eux le reste semblait mort se pourrait-il donc que le royaume serait partager entre ses deux seigneurs? A voir.

 

Côté Germain la famille de Lothaire bien que semblant prendre ses aises en Artois, elle se chômait pas, on disait qu'elle s'était trouvé un moyen de s'étendre encore plus sur la Germanie d'ailleurs elle avait déclarer la guerre à la maison de Franconie ce que en n'en point douter devait lui donner un certain accès autre terres germaines se pourrait-il donc qu'elle finisse par être roi de Germany? leur chef n'avait semble-t-il pas eu encore quelques intérêts à se convertir à un mode de direction qui avait longtemps fait ses preuves par le passé et qui le faisait toujours. Par ailleurs c'est toujours d'un regard farouche que je guettait ses agissements, bien qu'il paraisse calme, il n'en manquait pas moins qu'elle était puissante avec sans aucun doute de puissants alliés ou c'est cela que je me disai, ainsi donc je ne devais jamais le quitter des yeux.

 

Mais voila tandis que je fu longtemps plonger dans mes pensées, l'on m'en sorti

 

-Tadig, Tadig  je crois qu'on a un ex aequo

- Comment ca un ex aequo?

- cet homme la et cette femme cela fait plusieurs d'une 20 aine de minutes que leur lame retenti dans les airs

-Vous deux.... - prononcai-je élévant ma voix dans l'assemblée aussitôt le combat cessa et les s bruits furent mutés en silence - Félicitations vous voilà à présent mes fils, nous devons fêter cela ! -


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#8 Radnar

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Posted 13 July 2017 - 09:42 PM

​Chronique de Norvège, An de Grâce 1110:

 

 

​Une nouvelle année venait de s'écoulé l'Hivers fut long et toujours plus froid. Le Chastel de Harjeladen accueillait l'ensemble des ces sujets et vassaux afin de fêter la Deuxieme année du Nouveau Royaume ainsi que le Royaume de Skandinavie qui prenait forme petit à petit. La Norvège ralliant l'ensemble des seigneurs présents sur le Nouveau Royaume. La Suède allait proclamé la création de son royaume très prochainement et le Danemark de même depuis la prise du duché de Scanie et le ralliement du duché de Jutland. La Skandinavie prenait de plus en plus d'ampleur mais cela ne semblait plaire à d'autres seigneurs qui apparemment craignent les vikings.

 

- Mon Roy, je reviens à vous car j'ai ouïe dire plusieurs seigneurs craignent de nous voir à leurs frontières, ils ne cessent de parler du nouveau Royaume comme étant mauvais pour eux ... Je ne comprends pas ... que devons nous faire ? prendre la vie de ceux qui osent parler de la Skandinavie ? envahir leurs terres et n'y laisser que des morts et du feu ? Mon Roy dites nous quoi faire !

 

​Le Roy ne répondit pas aux propos rapporté de son frère, qui est l'un des plus grand guerrier du royaume. Il savait que d'être le premier royaume unifié et même la création de la première alliance allait être perçu comme dangereux pour les autres royaumes de ce monde mais la ... la frontière Danoise qui en entrant dans l'alliance du Nord marque un conflit avec notre voisin germains qui en espérait autre chose ... l'annexé à la Germanie ? en faire un royaume allié ? Difficile de savoir mais les derniers évènements marquais très probablement un contexte de guerre froide... A suivre mais le Royaume de Skandinavie est prêt s'il le faut à faire valoir les légendes qui se disent sur celui-ci prêt à tous pour atteindre son but.

 

​- Mes chers sujets, vassaux, alliés, frères, sœur, fils et filles, vous êtes tous au courant des derniers évènements qui ont fait de ma sortie publique devant tous affirmant une nouvelle fois la position du Royaume de Skandinavie comme étant l'un des royaumes pionniers dans la guerre et la conquête et que celui qui se dressera face à nous sera contraint au conflit et à la mort !

​Le Royaume de Skandinavie n'est pas un royaume ou nous priorisons l'agriculture à la guerre ! Il est très probable que nous partions en campagne prochainement hors de nos terres à la découverte de nouvelle terres ! 

​Qu'il en soit-ainsi et maintenant place à la fête et au combat ! que l'on fasse entrer les guerriers !

 

​Alan de Harjeladen lança les combats avant de se retirer quelques temps avec Bjorn son homme de guerre afin d'établir la prochaine campagne et d'échanger sur les deux seigneurs frontaliers, ces deux seigneurs prenaient de l'espace en terme de terre et population. Il fallait donc voir si cela correspondrait à une menace probable pour le Royaume ... Une chose est sûr, la Skandinavie sera très probablement bientôt en marche vers de nouvelle terre Angloise probablement ...

 

 

 



#9 Sandro

Sandro

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Posted 10 August 2017 - 08:05 PM

Chronique de Bohême l‘an de Grâce 1138

Prague, puissante ville et incontéstablement la plus prospère de toutes les villes européennes, est le cœur de l‘Europe centrale attirant artisans, artistes et ingénieurs germains et slaves. Une ville qui a vu sa population explosé ces dernières années tout comme les nombreuses découvertes et avancés technologiques qui y ont était faites. Les rues autrefois boueuses sont maintenant remplacé par des pavés et les maisons au bord de la rivière Moldau font places à de vastes palazzos qui sont soutenu par de grands piliers en bois. Cette ville, qui pourrait être le berceau d‘un temps nouveau dans les siècles à venir, a pourtant dû surmonter une menace qui pesait sur elle. La menace viking mené par Radnar de la maison de Norvège et qui a réussi a unifié toute la Scandinavie. Après avoir pris la Pologne à une vitesse fulgurante la maison de Bohême était le prochain obstacle pour ces hommes venu du nord. Pendant que les terres de Misnie et Franconie en Germanie tombèrent entre les mains des vikings, Madeg de Bohême essaya de négocier avec la maison de Norvège afin d‘essayer d‘éviter la guerre à tout prix. Hélas, quelle erreur! Voulant seulement rester neutre dans ce conflit il termina par jouer un double jeu faute de ne pas choisir son camp. Perdant la confiance de tout le monde, la Bohême failli tomber entre les mains des hordes vikings sans que les autres maisons voisines l‘aide à la contrer. C‘est seulement avec la mort de Madeg et l‘arrivé de Reunanez de Bohême que les choses changèrent. Reunanez savait qu‘il était temps de rejoindre son camp. Il était hors de question de rejoindre les vikings dont leur seul motivation était d‘envahir d‘autres terres et dont les objectifs de leur roi restèrent flous. C‘est ainsi que Reunanez fonda l’ordre du Phénix. Avec l‘aide des autres membres de cet ordre les choses étaient en train de changer radicalement et une armée puissante était en train de se former. Après la création de la Germanie il était grand temps de reprendre ce que les vikings ont pris ces dernières années sur le continent européen et de mettre fin à la domination scandinave. Le succès de l‘ordre fût écrasant. Le roi Radnar disparu, prenant la fuite après avoir réaliser que cette guerre n‘était pas à gagner. La Skandinavie, maintenant déchiré, commença à sombrer dans le chaos d‘une guerre civile. Le seul réconfort qu‘il leur reste est la couronne de Pologne qui appartient à la maison de Trondelag, nouvelle maison dominante en Skandinavie. Ne voulant pas céder la couronne à la maison de Bohême, qui elle la demande, car son rapprochement culturel, géographique et linguistique lui en donne un droit plus important que celle d‘un envahisseur scandinave, la guerre continua et celle-ci est encore présente aujourd‘hui. Pourtant, Prague continu à prospérer et même si les autres villes sous sa domination sentent les conséquences de cette guerre, elle reste qu‘une égratignure. Espérons donc que la maison de Trondelag trouve la raison et mette fin à cette guerre qui est en train de la mener vers le bord du gouffre.

#10 Ganhael

Ganhael

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Posted 16 August 2017 - 04:13 PM

Une estafette fit son entrée dans la salle et se dirigea jusqu'à la table où siégeait le duc de Basse-Lotharingie, sans même un regard pour les dizaines de convives attablés. Interrompant une conversation d'un geste de la main, Riagad pencha sensiblement la tête, signe qu'il était prêt à écouter les chuchotements de son messager. La victoire de ses soldats en terre danoise était un soulagement et un sourire satisfait habillait son visage lorsqu'il congédia l'émissaire.
 
Nouveau chef de la famille de Basse-Lotharingie, second roi de Germanie, Riagad faisait face à un défi de taille. Le conflit qui agitait l'Europe orientale touchait à sa fin, et le temps était venu de chercher et négocier l'issue la plus favorable possible. Cependant, la guerre marque les esprits autant que les corps. Après trois décennies d'efforts militaires, les descendants de Lothaire avaient pris goût à la chose martiale. La paix avait peu de partisans, contraignant Riagad à entretenir les hostilités pour asseoir son emprise sur la maison. Fils de Perig, le plus grand souverain de la famille dont tous louaient les qualités à l'unisson, il n'avait pas hérité de l'autorité naturelle de son père. Même finement négociée, une paix trop rapide le ferait passer pour un faible. C'est ainsi que, bien que piètre combattant et tacticien, il s'était résolu à ordonner l'attaque du Danemark, lui que la guerre ennuyait.
 
Le commandement des armées avait été confié à son fils et héritier Drogon, jeune homme charismatique au penchant connu pour le sang versé. Beaucoup voyaient en Drogon leur suzerain légitime et le roi de Germanie qu'ils avaient toujours appelé de leurs vœux. Seule la fidélité du fils pour son père garantissait à la Basse-Lotharingie un semblant de stabilité. L'entrée de Drogon fut accueillie avec clameur et applaudissements. Le jeune homme, la mine rayonnante et richement vêtu, vint s'agenouiller devant son roi de père, avant de s'asseoir à son tour. Une place lui avait été gardée à la table ducale, près de l'invité de marque. La maison de Bohême avait en effet envoyé Servan, l'héritier de Prague, à Bruxelles pour qu'il se joigne aux festivités. L'alliance entre les deux maisons était dorénavant ancienne et bien connue. Si on les encourageait à jurer aux noms des scandinaves, ce qui n'avait pas manqué de faire naître nombre d'expressions fleuries, les enfants des Basse-Lotharingie étaient éduqués dans l'amitié de la Bohême-Moravie et bercés par les récits des merveilles des rues de Prague.
 
Trois bruits sourds résonnèrent dans la vaste salle, mettant un terme immédiat au brouhaha du festin. Riagad reposa son verre lourdement et se leva en s'éclaircissant la voix.
 
Mes amis ! Si nous sommes aujoud'hui réunis, c'est parce qu'il est enfin temps pour nous de célébrer comme il se doit la victoire face aux vikings. Après la maison de Norvège, chassée de Germanie, c'est la maison de Trondelag qui a été contrainte à la reddition face à la fureur de nos guerriers. Je peux aussi vous dire que le roi du Danemark ne tardera pas à admettre sa défaite, ses défenses tombant les unes après les autres devant les assauts de nos troupes et de celles de notre allié de Bohême.
 
Le duc profita des quelques acclamations pour adresser un regard bienveillant à son invité.
 
Une nouvelle ère s'ouvre pour la Basse-Lotharingie. Nos villes s'étendent et s'enrichissent, nos vassaux sont plus prospères que jamais et plus aucun de nos voisins n'ose remettre notre puissance en cause.
 
Beaucoup dans l'assemblée entendirent ces mots comme annonciateurs d'une paix prochaine, et certains laissèrent même échapper une grimace de désapprobation. Désarçonné, l'orateur médiocre qu'était Riagad en perdit presque sa couronne et précipita la fin de son discours.
 
Vive la Basse-Lotharingie, longue vie à la Germanie !
 
D'un signe de la main, il ordonna aux musiciens de se mettre en place. Après quelques secondes pour s'exécuter, ils entamèrent un air composé pour l'occasion. La voix d'un ménestrel vint bientôt se greffer à la mélodie, emplissant la salle et le cœur des convives.
 
Et qui êtes-vous, dit le viking, pour n'être pas à genoux ?
Soumettez-vous, courbez l'échine, l'Europe sera à nous !
Ainsi parlaient, ainsi criaient, la Norvège et ses sbires,
Et maintenant la Scandinavie n'est qu'un lointain souvenir.
Ainsi parlait, ainsi criait, le tyran norvégien,
Oui maintenant la Lotharingie a uni les Germains !
 
Drogon fut le premier à féliciter les musiciens, immédiatement rejoint par la salle entière, mêlant cris et choppes tapées contre la table. Si Riagad ne tarderait pas à se retirer, les festivités dureraient, elles, toute la nuit.

Ex Bébé Vac-D'Ortenburg sur Europe


#11 Sandro

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Posted 16 August 2017 - 10:16 PM

Servan chanta à voix haute, une main tenant son échoppe et se dirigea vers Drogon. Lorsque l‘autre homme reconnu celui qui s‘approcha de lui un sourire se fît sur ses lèvres et il tendit le bras au-dessus de l‘épaule de Servan. Coude-à-coude, chacun tenta d‘exceller l‘autre sans que le chant ne devienne qu‘un hurlement. Leur acte ne passa pas inaperçu et les nobles seigneurs présent dans la salle fixèrent les deux jeunes hommes qui chantèrent de plus belles avec Drogon et sa voix grave de bariton et celle de Servan étant un peu plus clair que celle de son compagnon, donnant ainsi à leur chant un brin de légèreté dans leur voix de guerrier, ce qui allait à merveille au rythme et texte de la chanson. Une fois terminé, les nobles seigneurs applaudirent et Servan et Drogon se penchèrent devant comme cela se doit après une prestation approuvé.

- Servan, quelle joie de te revoir! Quand est-ce qu‘on s‘est vu la dernière fois? Ça doit bientôt faire sept ans si je me trompe pas?

- Sept ans, c‘est exacte! En plus c‘était seulement pour parler des préparatifs de la guerre de Danemark qu‘on devait régler et la question comment nos deux familles y aller contribuer. D‘ailleurs je ne te cache pas que j‘étais déçu quand tu m‘as révélé que ton père était seulement prêt à mettre 150 hommes à disposition. Je m‘attendais à plus que ça du puissant roi de Germanie.

Servan regarda Drogon avec une grimace sur son visage et pris une gorgée de sa chope.

- Par contre mes félicitations pour la bière. Bien différente, pleins d‘arômes, mais pas mauvais. Il y a que chez nous en Bavière qu‘on fait mieux qu‘ici.

Drogon haussa les sourcils, pris également une gorgé de sa chope tout en réfléchissant. Il avait déjà entendu de la fameuse bière bavaroise et ne savait pas trop quoi répondre à cette remarque provocateur de la part de Servan.

- Dis ce que tu veux de la bière, je ne peux juger vu que je n‘ai pas gouté à la vôtre. Si elle est aussi splendide que Prague je veux bien croire que vous nous battez également dans ce domaine.

Prenant une grande inspiration et en observants les danseuses au milieu du banquet il continua.

- Et oui, mon père n‘est pas un homme de guerre, pas comme nous en tout cas. Mais mon père a la couronne, je serai Roi de Germanie un jour et toi tu ne seras que Prince de Bohême.

Servan prit le temps de répondre en prenant une gorgé de plus de sa chope. Elle était déjà presque vide.

- Seulement un titre plus prestigieux que celui de prince, voilà tout.

- C‘est ce que tu dis, mais tu sais que cela n‘est pas vrai. Nous on a tout notre droit sur le sol germanique alors que vous seulement sur la Bohême. Cela nous fait plus puissant que vous!

Servan senta la colère commencer à monter. C‘était pas la première fois que Drogon fît cette sorte de remarque et de savoir qu‘il avait raison l‘énerver plus que tout. Vidant le reste du contenu de sa chope afin d‘avaler ses sentiments, il se mît ensuite debout et regarda Drogon d‘un air furieux.

- Bien, il est possible que votre maison soit plus puissante que la nôtre et que tu seras ainsi plus puissant que moi, mais qui des deux hommes est le plus fort? Ça fait longtemps depuis notre dernière lutte et j‘ai entendu parler que tu serais devenu un excellent combattant, serais-tu donc prêt à m‘affronter Drogon, héritier du trône de la Germanie?

Drogon le distingua avec regard confus avant qu‘une grimace moqueur se montra sur ses lèvres. Il n‘était non seulement prêt d‘affronter Servan, il en avait surtout très envie. Vidant également le contenu de sa chope, il se leva ensuite, surpassant Servan d‘une demie tête.

- Je le suis, petit Prince de Bohême. Tu n‘as jamais gagné lors de nos luttes, alors pourquoi devrais-je perdre maintenant.

Servan se maîtrisa et ne répondit pas. Il savait que Drogon voulait le mettre en colère et que s‘il y arriver cela aller lui faire perdre le combat. Sachant que Drogon est plus grand et plus lourd que lui, il était évident qu‘il ne pouvait uniquement compter sur la force afin de gagner ce combat. Il fallait qu‘il utilise la ruse et pour pouvoir en faire usage il fallait qu‘il puisse penser. Sentant l‘alcool faire ses effets, il enleva ses vêtements de la partie supérieur de son corps, les jetant à un serviteur se tenant près de lui, et sauta quelques fois afin d‘éclaircir sa tête et sentir ses muscles se préparer à ce qui était à venir. Pendant ce temps la salle était devenu silencieuse sans que l'un des deux hommes s'en souci. Ils avaient l'habitude d'avoir l'intention sur eux et que ce soit chez soi ou chez un allié cela ne faisait pour eux aucune différence. Avec Riagad étant absent, personne était là pour raisonner les deux jeunes hommes. Drogon, plus calme que Servan, enleva ses vêtements tranquillement, secoua sa tête comme si l'alcool aller ainsi lâcher prise, et se mît ensuite en position de lutte. Autour d'eux le brouhaha des nobles acclamant la victoire de Drogon saisi la salle, suivi par le bruit des nobles de Bohême venu accompagner Servan à Bruxelles, essayant de leur mieux d'encourager leur futur prince. C'est Drogon qui commença le combat en faisant un pas rapide en avant afin de tenter de prendre Servan par l'épaule et dans l'élan le faire tomber par terre. Une tentative sans succès, Servan fît deux pas sur le côté et se trouva ainsi hors d'une possible prise de Drogon. Servan n'attendi pas longtemps et attaqua Drogon de front. Les deux corps se trouvèrent, chacun essayant d'avoir une prise sur l'autre tout en évitant de donner une position favorable à son opposant. Drogon était clairement en avantage avec sa taille, son poids et sa force supérieur, mais Servan était tout fois plus agile et avait une meilleur condition. Drogon était comme un serpent qui tenta d’emprisonner son adversaire dans une prise qui le mettra enfin au sol, mais Servan réussi d'éviter toutes ses tentatives. Drogon éclata de rire en réalisant que Servan ne faisait que d'esquiver et non battre pour de bon. Les deux étaient en sueur ce qui rendait les choses encore plus difficile. Tout d'un coup Servan avança, sachant Drogon confiant dans ce combat et qu'il aller de cette manière enfin pouvoir saisir sa chance. Servan esquiva la prise de son opposant en s'inclinant sur le côté gauche tout en levant sa main droite afin de parer les bras de Drogon. Avec la jambe droite derrière celles de son adversaire il tira avec son bras droit, qui était dans les mains de Drogon, contre sa poitrine de toute ses forces. Drogon tomba en arrière et fût obligé de lâcher afin d'amortir sa chute avec ses bras. Se trouvant par terre il regarda Servan d'un air surpris. Les acclamations des deux parties se turent et un silence total s'installa dans la salle. Doucement, à peine visible, un sourire apparut sur les lèvres de Drogon suivi par une grimace de Servan. Tout d'un coup les deux se mirent à rire et la salle se rempli des voix des nobles gens.

- Toi, il va falloir que tu me montres cette prise absolument! Qui te l'a donc enseigné? Et je veux ma revanche demain! La pensé d'avoir perdu contre toi, petit Prince de Bohême, est intolérable!

La remarque de Drogon fît sourire Servan. La victoire contre son ami l'avait mit en excellente humeur.

- Mon grand-père après que j'ai perdu une nouvelle fois contre toi lors d'une lutte quand t'était à Prague. Il y a maintenant bien longtemps, on était que gamins. Il m'a montrait pas mal de choses dont il dit avoir apprit pendant ses années en tant que mercenaire et garde impérial byzantin.

- Oui, c'était un sacrée guerrier ton grand-père. Et les histoires qu'il nous racontait! Viens, buvons donc une nouvelle chope mon ami et ensuite cherchons nous donc deux jolies demoiselles qui nous divertiront ce soir.

Observant les deux hommes, Riagad souri. Il venait juste de revenir de ses appartements après avoir entendu de cette confrontation par l'un de ses serviteurs. Voyant son fils et Servan s'entendre ainsi lui réchauffer le cœur. L'amitié entre sa maison et celle de Bohême était bien ancrée.

#12 Denathor

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Posted 23 August 2017 - 11:49 PM

The History of House Blois, A Tale of Two Kingdoms
 
Prologue
 
The winds from the North blew softly on the campfire and the flames flickered bright enough that you could see the crystal like frost twinkle on the side of the mountain. This was going to be another restless night for young Edmund, but at least he was content with the slow fire keeping him warm.
It had been a long day of marching for the men and the good monk had managed to finally keep up with them at a decent pace. They had almost left him behind when they had come South from Paris. This time he did not dare to brave the wilderness of Burgundy alone and moved like Satan himself was on his heel. His muscles burned from the exhausting trek across the hilly terrain and this is the source of what caused his weariness on this late Winters night.
The Equinox was coming soon ad the land was starting to thaw a little. You could clearly see by the caked mud on the officers red capes as they walked by discussing strategies of the upcoming battle. Behind them were their most trusted men watching the surroundings to protect the commanders of England's army.
Off in the distant the sudden sounds of the horseman echoed through the valley that the camp had nestled in and it seemed to travel like a shadow as the man approached in his haste.
"My, lord. I have word from Vienne. The Norman army has finally arrived and they make their way to join with us as soon as the mornings dawn rises." The commander smiles and gives the soldier a nod as he tells his guardsmen to fetch food and drink for the tired traveler. He whispers something to the officer next to him and marches towards the entrance of the King and Queen's tent.
This war was something both rulers of the kingdoms of England and France personally came to over see. The combined might of the cousins were resting for the night, but when morning came the long siege would begin and some men would lose their lives when they marched to the cities walls.
 
Chapter One
 
The weeks seemed to go by quickly and Winter soon gave way to Spring. The siege of Lombardy had finally ended and the city surrendered to its new Lords. I had stood by for the signing of the treaty and was thankful that we would be going home soon. I missed my beloved and the warm fire of my hearth. But, my dreams were short lived as the King made the announcement that we would stay encamped in the Southern reaches of Savoy as we waited for Italy's King to swear allegiance to his holy crown or suffer the consequences. The thoughts of my beautiful, Trestana, swiftly dissipated into oblivion as I realized we were not going back home to Paris.
It was with haste that King Sicily gave way to England's demands and appeared at our Lords request to show his devotion and bend the knee to swear allegiance to the crown. All of Italy now served our King and the threat of war never came. We would finally be going home.
The tedious marching was relentless and the days blurred together as Spring boldly leapt into Summer. We were only a few days from Paris and I could already see the smoke rising from the many areas of the city rising into the sky.
"You there! Are you Edmund of Deschane?" The soldiers voice was guttural in pronouncing such an odd name to roll off the tounge of his Anglian heritage. "Who is asking?" I demanded to know since not many knew of my existence. "Our Lord, and ruler of The Kingdoms, King Melaine of England."
I could feel the blood drain away from my face as I began to stumble to the ground. I have never personally met the King and I was in fear that I may have commited some crime that I yet knew nothing about. The soldier politely pulled me to my feet and waited for me to regain my balance before he abruptly started dragging me towards the center of the line. The marching had come to a slow crawl as the capitol came into sight in the distance of the horizon. Night fall was coming and the army was going to rest before reaching its final destination.
The soldier let go of me as we approached the men standing around a table discussing matters of state. The newly appointed Princes of France, Jagu of Auvergne and Abel of Normandy stood by King Melaine and his cousin Corentin, the newly crowned King of France. The mournful look was still upon his face even though it had been almost a week since his mother had passed on to be beside her ancestors in the Halls of The Dead. As I approached they all averted their gaze from their maps on the table and began to stare at me ragged appearance.
"And who might you be", Jagu of Auvergne asked as he took in my humble attire. "I am-m-m Ed-d-mund", I began to mumble. Abel of Normandy must have thought my feelings of awe and intimidation were humorous as he began to laugh heartily and had began slapping Jagu on his back. "Would you just look at his face, Auvergne! The boy is frightened like we're the demons hiding under his bedsheets at night!" He continued to laugh until Melaine's stern face brought a halt to his jest.
The King smiled and pulled me aside and put his arm on my shoulder as we walked into the tent. "Pay them no mind, young Edmund. They will find any flaw in a man and exploit it as much as possible." His soft and gentle smile brought peace to my terrified mind and I felt at ease more so than anytime before in my life. It was like an angel had come and offered its embrace to comfort me and soothe my soul into a tranquil existence. "I have a task for you, lad." The King's strong voice snapped me back into reality as I realized that I had been standing there slack jawed. The drool had almost fallen from my chin, but the power in Melaine's vocals had shaken me from my short-lived daydream.
"When we return to the city I would like you to go to the citadel and find some old records for me, Edmund. You will know what they are as they will have the seal of my ancestors, House Blois, upon them." I stared in confusion and he could tell that I did not understand the purpose of looking for these documents. "I want birth records, transactions, treaties, and anything you may find about the history of my family and write a chronicle about how such a small and insignificant house found its way to power over both kingdoms of England and France and how it came to be one of the most prominent families in the history of the known world. This may take you some time to complete, so I have arranged for your things to be taken to the citadel and for it to be your new home until your chronicles is complete." He smiled, but this time there was no angelic embrace to sooth my mind. The task he had set before me would take me months, maybe years, to complete. The warm bosom of my dear, Trestana, had all but faded in that instant.
 "My King, I humbly accept your request."
 
CHAPTER 2 COMING SOON!


#13 Sandro

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Posted 29 August 2017 - 11:05 AM

Chronicle of Bohemia, year 1157 AC

"Enough!" Servan looked at his generals and councelors sitting around the table in the chamber of the small councel. He wasn't Prince of Bohemia yet, but his mother agreed to give him charge of all political matters, so she could focus more on the administration of the city of Prague and find more time for herself in her final days. "This is all the councel you can give me?" After taking a deep breath and having a final glance at each men he continued. "I want my crown and I want to have it before my time has come to pass on as well. We are mighty, we are rich, our provinces are prosperous, we have Prague, we have siege weapons waiting to be used against ennemy walls, we have powerful allies and our granaries can feed an army of thousand without a problem. However, despite all that, you are telling me that I cannot have the crown of Poland? That he, from house Trondelag, who is nothing else than a viking and my vassal, is untouchable. You are telling me that we can't do anything to take the title of king from him? Is that it? I want a solution and I am tired to hear that my request is impossible. So better get me satisfied or you will have to find another task!" Silence fell upon the room as Servan waited for an answer from his small councel. After a certain time which felt like an eternity to them, Jestin, a young general who proved to be a great tactician on the battlefield during the war against Danemark, finally spoke up to the great relief of the other members. "My Prince, there might be one solution how to solve this problem. The title of king of Poland makes him untouchable and Trondelag will never give us his crown. However, if we or one of our allies would be able to gain the title of Rex Romanorum he would have the power to take the lands of Trondelag and so take his right of king and pass it on to you. But it doens't have to come to this. We could send a raven to their house and tell them of our intentions and give them a choice: On the one hand, they can give us the crown and we promise in return to leave their lands untouched. On the other hand however, if they refuse we will have to wait until we can conquer their lands thanks to the right that gives the supreme title of Rex Romanorum and so destroy their house completely to the ground. This is what I propose you, my Prince." Servan leaned back in his seat, thinking about Jestins idea. He liked it very much, but he could see that it would be a difficult task. Turning his attention back to his councelors he said: "Excellent, that is what I call good councel. I guess we are done here gentleman, we'll meet at the same time tomorrow."
"My Prince, one more moment, if you will grant me that time!" interrupted an older man, Morvan, who is the head of the great library of Prague. "Yes, what is it Morvan?" Servan just wanted to get over this matter and made it clear to everybody that they shouldn't make him wait any longer. "A man called Edmund sent us a raven a few days ago. His letter was marked with the royal seal of House Blois which, as you know, are the rulers over England and France. He demands to be able to stay here and have permission to our library so he can gather information over the History of House Blois. His king has given him personally this task and I wanted to know how we should respond to his demand." Servan didn't wait to give an answer. Looking at the old man's eyes he said: "As you surely know, master Morvan, House of Lower Lotharangia is ally to House Blois for a long time. My house is the closest ally of House Lower Lotharangia. So everybody who is a friend to them is a friend to us and those who are their ennemies are also our ennemies. Does that answer your question?"
"Yes my Prince, I will grant this man permission to our library"
"Good." Without waisting anymore time Servan stood up and left the room, followed by his guards.

#14 Amundi

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Posted 30 August 2017 - 09:15 AM

Włocławek, An de grace 1158

 

Jukondin de Trøndelag, roi de Pologne, était vieux et mourant. Avant de périr, il décida de convoquer sa famille afin de leur compter une nouvelle fois leur histoire,

 

Entrer donc et prenez place ,nous sommes ici dans la salle du trône, loin de nos racines, mais ces tableaux et sculptures que vous apercevez retrace l'histoire de notre noble famille. Dit-il d'un ton solennel en désignant la salle où tous se trouver

 

Tous connaissaient leur histoire, ils étaient de noble et grand viking ayant perdu leur patrie en cherchant une paix qui n'arrivait jamais.

 

En effet, leur histoire a débuté en Norvége à Trøndelag, ou afin de vivre comme de vrai viking et avec l'aide de feu le roi de Norvége ils travaillérent à unifier les 3 royaumes viking. Ce qui fus réalisé si rapidement que le reste du monde commença rapidement à craindre et à convoité l'Alliance Scandinave.

Néanmoins, le roi commença à perdre la raison et de conquérir des terres laissées a l'abandon tout en menaçant des nations jusque la pacifique.

 

Plusieurs années aprés, les terres de Pologne et la couronne furent conquissent et ramener à la civilisation. Néanmoins, dans sa folie le roi de Norvége avait réveillé un démon.

 

L'alliance finie par s'écrouler sur elle-même, avec l'aide d'allié fourbe tel le royaume de Hongrie qui joua triple jeu et après avoir trahis l’ordre du Phénix, fini par nous trahir.

 

Dans ça recherche de la paix, la famille Trøndelag décida de régler le soucis du roi seul et chercha à le destituer, cela était sans compter sur la fourberie de la famille Lisbonne qui en parlant de paix décida d'aider le même roi qu'il combattait quelque année auparavant.

 

Depuis, les Trøndelag vivent sur leur dernière terre de pologne loin de cher eux et sous la menace permanente de leur voisin.

 

Nous sommes tous réuni ici, car j'ai une fois de plus reçu une missive de la famille de bohème. En voici le contenu mot pour mot. Il déroula le message et commença lire : "Je te demande pour la dernière fois de me céder le titre ou sinon je vais être dans l'obligation de mener la guerre contre toi afin d'obtenir ce qu'il devrait m'appartenir. A toi de décider pour la paix ou la guerre. "

 

Dans l'assemblée chacun réagis de maniére différente, mais tous savez ce que cela signifier. La fin de leur famille, car jamais elle ne céderait son royaume, seule vestige du passé qu'ils leur restaient.

 

Comme vous le savez cela fait des années que cette famille désire nous voler nos terres et nos titres. Malgré, les menaces constantes et notre amour du combat, nous avons toujours cherché la paix. Je ne pouvais décider seul de l'avenir de notre famille, alors que décidons nous ? Il regarda chaque membre de la famille dans les yeux et attendis leur réponse.

Aprés quelque minute de silence la réponse fus donnée d'une seule voix l'assemblée

 

La mort...



#15 Sandro

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Posted 31 August 2017 - 12:18 PM

Chronicle of Bohemia, year 1159 AC

A man walked down the road towards the great city of Prague. You could see by the expression of his face that he was amazed by it's sheer size and the fortifications that surrounded it with it's high thick walls and huge round towers. The man passed through the western gate of the city after being examined briefly by the guards and receiving a friendly advice from them where he could spend the night inside the city walls, leave his horse in a good stable for a reasonable price and perhaps, if he was in to it, the brothels they recommanded, if his cock should have a certain urge that night. The man thanked them with a smile and entered the city and passed right by the military complex where he stayed for a while to admire the multiple siege weapons and especially the two trébuchets standing in a great court. A clever move, he thought, to show to everybody who passed the city the military force of Prague and so spread the word of his capacities throughout Europe. He continued his way towards the center. The houses were now replaced by some impressive palazzos as he finally reached the Moldau and the streets were now even wider and the cobblestone glanced in the sunlight and seemed to be wet, however it was only polished by the many footsteps of the people who have walked on it. The man stopped at one of the palazzos, looked at it for a moment as if looking for confirmation and at last, after a moment of hesitation, knocked at it's massive wooden door. After having knocked a third time a man finally opened the door, looked at him and asked him what he wanted. The man told him his name was Esmund of Deschane and that he was here to see a good friend and asked the servant, if he could pass the word to his master. The man hesitated and so Esmund gave him a silver coin in his hand which immediatly changed the man's attitude. He let the man come in the court with his horse and told him to wait there until he got an answer from his master. His waiting didn't last long as a man dressed in some fancy, colorfoul clothes and a hat decorated with an eagles feather on it, came with a big smile towards him, greeting him with a perfect french: "Mon ami, comment vas-tu? Ca fait bien trop longtemps depuis qu'on s'est vu la dernière fois! J'espère que tu n'as pas rencontré trop de difficultés lors de ton voyage. En tout cas bienvenue à Prague et bienvenue chez moi."
"Ich danke dir mein Freund! Ja, in der Tat, es ist lange her seit unserer letzten Begegnung und ich sehe du hast dich hier gut eingenistet du alter Fuchs. Es ist auf jeden Fall schön dich wieder zu sehen." Both men smiled at each other. Then the well dressed man whose name is Stefan, continued: "Je vois que tu parles encore parfaitement l'allemand. Cela te sera très utile pendant ton séjour à Prague. La ville compte beaucoup d'Allemands et les Slavs qui y vivent sont billingues. Sortons donc afin que je puisse te montrer la ville." Then he looked at his servant and told him to take care of the horse of his friend and that he should tell his wife he will be back in an hour. The servant gave a nod and stepped back with Esmunds horse. The two men walked outside and first went to the great fair of Prague. On their way they passed by hydraulic saws which cut wood and stone thanks to the kinetic energy of the water and Esmund was fascinated by them. Once arrived at the fair Stefan insisted buying them sweets, telling him he hasn't done that for years and that it reminded him of their time together in Paris as they were both only students. Stefan wanted to take him to the Great Library after the fair for which Esmund has come for as suddenly all the bells started ringing. They didn't stop and all the people knew what this meant. That their beloved Princess has passed away and that Servan was now Prince of Bohemia. After the silence followed the noise of the people's voices, discussing about the recent event. Stefan looked at Esmund with a shocked face. He knew this day would come, but it still hit him unprepared. He then took his friend and they both went, like many other people, to the great place in front of the castle. The Prince would have a speech as it has always been the case after the death of a monarque and people were curious what he was about to say even if many of them knew that he was the one who ruled Bohemia those last few years while his mother rested. Time passed and the sun's journey started to reach his end, illuminating the castle and it's balcony where Prince Servan would hold his speech, in an orange light. The Prince came out at that very moment and the crowd acclaimed him and came only to silence as the Prince hold his hands up, making clear he would like to begin with his speech: "Mein sehr verehrtes Volk, dies ist ein trauriger Tag für uns alle. Meine Mutter, Prinzessin Reunanez von Böhmen, ist im Alter von siebzig Jahren von uns gegangen. Sie war eine großartige Herscherin, hat die Bedrohung der Wikinger mutig zurückgeschlagen, mächtige Allianzen geschmiedet und Prag und Böhmen zu neuer Größe verschaffen." The crowd cheered to those words and you could see the sadness in the faces of some of them as they made their final farewells to this great, strong woman who succesfully accomplished to improve the lives of her people. After silence regained the place Servan continued his speech: "Ja, Sie war eine großartige Herscherin und wir werden Sie alle vermissen. Doch das Erbe was Sie uns hinterlassen hat müssen wir nun ausnutzen. Böhmen ist mächtig und wohlhabend, unsere Größe ist vergleichbar zu denen der Könige Europas." A murmer rose as people knew where their prince was heading with his speech. It was about the missing crown Bohemia so desperately longed for and saw it as unfair that such a great house had only the title of prince whereas their power was beyond most of the existing dynasties of Europe. The Prince continued, this time with a certain anger in his voice: "Haus Trondelag lacht uns aus und das schon seit vielen Jahren. Sie hatten die Frechheit sich als Wikinger vom fernen Skandinavien sich die Krone Polens für sich zu beanspruchen als Böhmen noch schwach war und meinem Großvater es an Willen gefehlt hat sich den ausländischen Invasoren entgegenzustellen. Doch das hat sich nun geändert. Trondelag ist schwach und wir werden dank unserer Allierten endlich uns das holen was uns rechtmäßig gehören sollte!" The crowd cheered and Servan had to wait one more time before he could continue. "Wir werden uns holen was wir durch Diplomatie uns nicht holen konnten. Seit Jahren fordern wir die Krone und seit Jahren hat das Haus Trondelag die Frechheit mir, seinen Lehnsherr, das zu verweigern wofür ich zum Wohle meines Volkes begehre. Ich gebe euch mein Versprechen, dass bevor meine Zeit kommt mich von euch zu trennen die Krone Polens im Besitz meines Hauses sein wird und Sie zum Wohle des Volkes dienen wird." The crowd cheered and applauded and the Prince of Bohemia lifted his hands up and majestically stood there, on his balcony, before retiring back in the castle.
As the crowd started to break up, Stefan and Esmund started heading to the Great Library. On their way there Stefan started a conversation with his friend: "Tu as remarqué que le Prince Servan a seulement parlé en allemand lors de son discours et non en slav comme il l'aurait pû le faire? Cela montre bien qu'il cherche à montrer symboliquement son rapprochement au Royaume de Germanie et prouver une fois de plus son amitié envers la maison de Basse-Lotharingie."
"Est-ce que cela ne mettra pas en colère certains Slavs et surtout mettre à l'épreuve une soumission de la Pologne comme il a l'intention de le faire?"
"Si, certainement, le slav perd de plus en plus son importance à Prague, sauf dans les campagnes et les villages elle reste la langue dominante. Prague est dans ce cas une île linguistique et la maison de Bohême mène une politique aggressive pour promouvoir la langue allemande au détriment de la langue slav. Personellment je ne peux me plaindre, mais tu as raison, cela provoque en effet certaines tensions mais qui reste tout fois insignifiante pour l'instant."
"Ésperons donc que cela reste ainsi."
They arrived in front of the library and Esmund was amazed by the effort that was put in the construction of the building and in the name of knowledge. After a moment of admiration both men entered and he was first dissapointed to see that only a common room, the size of church, appeared. There, men dressed in a humble white robe, similar to the ones the monks wear, were sitting in front of desks and serving the many people who came for the library. When their turn came, Esmund showed the man his letter he personally received from the master of the Great Library of Prague. The man examined the letter and the seal before he came to an answer: "Meister Morvan hat uns persönlich über ihr Kommen informiert. Er hat uns ebenfalls gesagt Ihnen Zugang zu allen Abteilungen unserer Bibliothek zu gewähren." Opening a chest next to his seat he brought out a ring on which a multitude of keys were hanged on. Then he passed a paper to Esmund and said. "Bitte lesen Sie das Formular ausführlich durch und unterschreiben Sie anschließend unten rechts. Falls Sie Fragen haben während ihres Besuches gehen Sie bitte zu einer unserer Assistenten, die sich in der Bibliothek befinden. Sie werden Sie an ihrer Kleidung erkennen." After having read the formular and signed it, the man gave him the keys and wished him a pleasant time. Stefan said goodbye to his friend as he had to go back home and arrange things for the many businesses he had and said that a chamber and dinner would be prepared once he would come back. With a nod Esmund left his friend and passed through the great door seperating the entrance with the rest of the library. A smile appeared on his face as he saw the immensity of books standing there, waiting to be read. Hopefully he will also find what his king asked for in order to complete his chronicle.

#16 Sandro

Sandro

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Posted 17 September 2017 - 03:42 PM

Chronique de Bohême, l'an de grâce 1176

 

Une pluie diluvienne tomber sur les terres de l’Ardèche quand l’homme s’approcha du petit village de Balazuc. Une taverne se trouvait près de la rivière et on entendait le rire des villageois qui sont venu ici se divertir le temps que les choses retournent à la normale. Le bâtiment avait une construction intéressante. Elle avait une grande terrasse couvert d’un toit en paille et le tout était porté par des piliers en bois. Cette simple construction était raccordé au bâtiment principale qui était haut de deux étages et qui était construite tout en pierre et dont son toit était recouvert de brique rouge. Dehors, un porc était en train de rôtir et un tonneau rempli de vin rouge se trouvait près des grandes tables massives qui se trouvait à l’extérieur. Alors qu’il pleuvait il ne faisait pas froid. Le climat était méditerranéen de ce côté de l’Ardèche et l’eau purifier tout simplement l’air de toutes saletés après une longue période en absence de pluie.

L’étranger avait les cheveux blonds, un corps robuste et bien défini et avait une peau d’un léger brun. C’était un beau jeune homme qui trimballait avec lui un magnifique cheval blanc, un destrier puissant et jeune comme son maître et fait pour le champ de bataille.Tous les deux furent vu par les villageois qui les regardèrent d’un air curieux. Le tavernier s’approcha d’eux afin de savoir comment il puisse les servir. « Bienvenue à Balazuc voyageur ! Je suis le propriétaire de cet établissement. Comme vous pouvez le constater nous sommes en train de fêter le retour de la pluie sur nos terres et vous serrez le bienvenue de nous rejoindre manger parmi nous. Vous allez sûrement pouvoir nous donner des nouvelles du monde dont nous manquons tant ici. Si vous permettez, je vais conduire votre cheval dans l’écurie et lui donner ce dont il a besoin pendant que vous vous installez.» L’étranger le remercia poliment et se dirigea vers les villageois qui lui firent une place parmi eux. « D’où venez vous étranger ? » demanda un vieux villageois assît près de lui. Malgré son âge il avait un physique solide et ses bras étaient épais et musclés. « Votre accent m’est étrange et je n’arrive pas à le placer. Et pourtant j’étais à bien des endroits pendant ma jeunesse avant de retourner à mon village natal.»

« Je viens de bien loin d’ici, des terres de la Bohême-Moravie. »

« De la Bohême-Moravie ! Bon dieu, que faîtes vous donc si loin de votre patrie jeune homme ? »

« Je suis venu ici afin de découvrir plus du monde. » Après une courte pause il continua: « Vous me dîtes d’avoir aussi voyager. Puis-je demander pour quelle raison ? » Le vieil homme le regarda étonné et puis souri. « Dans ma jeunesse je ne souhaitais pas rester éternellement dans mon village et me sacrifier au labeur de la terre. J’étais assoiffé d’aventure et ma curiosité m’incita de m’engager dans une armée mercenaire afin de parcourir bien des endroits. Je gagnais très bien ma vie et avec le temps je fût très adroit au combat. La guerre est terrifiante mais il ne fallait pas se laisser entraîner par la peur, car sinon c’était la fin pour toi. J’ai tué bien des hommes et pas moins d’un a pissé dans son froc avant de mourir. Après bien des années dont j’ai la chance d’être rester en vie, ma soif d’aventure fût épuisé et mon âme ne demanda plus que du repos. J’ai donc abandonné ma carrière militaire et je suis retourné ici où j’ai commencé une nouvelle vie. » L’homme fît une pause et prît une gorgé de vin rouge de son gobelet en cuir : « Maintenant je suis le forgeron du village. Ainsi j’ai encore contacte avec l’acier, mais au lieu de manier des armes je fabrique des outils ou répare ceux des villageois. Après bien des années j’ai donc fini par trouver ma place au sein de ce village. La vie est plus simple, mais nous n’avons pas forcément besoin de plus. Je ne suis pas moins heureux que pendant mes années militaires. Et surtout, ici nous avons un décor magnifique qui fait que je remercie dieu tous les jours pour m’accorder cette retraite paradisiaque. »

« Vos mots me touche, le grand-père de ma grand-mère, donc ca date il y a bien longtemps, avait une histoire assez similaire à la votre. Il est également parti de chez lui et afin de découvrir le monde il a rejoint une armée mercenaire tout en devenant par la suite garde impériale de l’Empereur Byzantin. Son exode a duré trois ans avant qu’il retourne chez lui. »

« Et bien je dis santé à ta famille dont ses ancêtres paraissent pas de manquer de culot non plus! » Se tournant vers le tavernier il dit :  « Michael, serres donc de notre bon cru à ce jeune homme. C’est moi qui paie ! »

« Ca marche Pierre ! »

Se retournant vers lui, Pierre lui demanda ensuite si le jeune homme pouvait lui raconter des événements récents de ce monde. Les autres villageois qui jusque-là garder seulement une oreille attentive à leur conversation se turent. Savoir ce qui se passer au-delà de leur village les intéresser fortement et plus que le collecteur d’impôts qui passait à la fin de la récolte en début d’octobre et les quelques passants qui traversèrent leur village, ils restèrent bien isolé du reste du monde. Le jeune homme pris son temps avant de commencer, sachant que son rapport devra contenir tous les événements de ces dernières années afin de satisfaire la curiosité des villageois. Prenant une gorgé du cru tout en prenant le temps que le vin se développe dans sa bouche, il commença son récit : « Les rapports de force en France, Espagne, Portugal, Angleterre, Écosse, Italie et ici en Burgonde ont à peine changer. Sauf pour la maison de Lisbonne qui a obtenu le titre de Rex Romanorum. Titre qui lui ont accordé les rois des différents royaumes à part la Scandinavie, le roi de Pologne, la maison de Sicile et le roi de Hongrie-Croatie. Dès que le titre lui fût accordé, la guerre éclata entre la maison de Lisbonne et de Pologne. La maison de Bohême ne pu participer, le roi de Pologne étant son vassal, mais il soutena le roi de la puissante Germanie financièrement et à eux deux ils rassemblèrent une armée de mille hommes ! Avec plus de 1500 hommes et 12 trébuchets, il fût un jeu d’enfant de prendre les deux villes hautement fortifié au roi de Pologne. Ainsi passa la couronne de Pologne à la famille de Bohême qui attendait se moment depuis plus de trente ans. Le roi de Hongrie-Croatie fût ensuite attaquer, car ne s’occupant plus de ses terres et s’isolant de plus en plus des autres, le nouveau roi de Pologne, de la Germanie et des Burgondes se mirent d’accord de mettre fin à sa maison, de répartir ses terres aux ducs de Hongrie-Croatie et que la maison de Transcaparthie devienne le nouveau roi. Même chose se passe en ce moment même pour la maison de Hordalan, dernière maison viking ayant des terres sur le continent européen, et la maison de Thuringe. Les grands profiteurs de ces guerres récentes sont la maison de Haute-Lotharingie, de Poméranie et surtout de Bohême. Les guerres font encore ravage, mais la puissance des trois rois est telle qu’ils ont aujourd’hui quasiment le contrôle sur tout le continent. La paix permanente en sera bientôt la conséquence de leur dominance. Si j’en sais autant, sait que je faisais partie des combats de ces guerres et si je me trouve ici c’est pour surtout trouver paix en mon âme avant de retourner chez moi. »

Un court silence s’ensuivit et les villageois tentèrent au mieux de mémoriser les informations dont ils venaient de recevoir. « Et bien je te remercie pour ton rapport étranger, il est important de rester au courant des choses dans un monde où les choses sont incertaines et sans cesse en train de changer. »

 

(Dernier rp sur cette partie de la maison de Bohême. Les prochains rps de ma part se trouve maintenant sur la partie Confucius sous "Chroniques de Pembroke")



#17 Denathor

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Posted 10 October 2017 - 06:34 PM

The History of House Blois, A Tale of Two Kingdoms

 

Chapter Two

 

The walk up the hill was tedious and exhausting once he made it halfway to the top. The small, dilapidated cottage that was nestled in the trees was his final destination, but one that he soon be done with. It seemed like an age had passed since Sandro Deschane had been home to the warm fires burning within. The smell of the stew bubbling as his mother hummed while she cooked. As he reached the top of the hill he looked upon the fell ruins of his childhood home and a look of disappointment came across his face as there were no warm fire to cozy up to, nor any of his mothers stew to fill his empty stomach. Only the thought that his father was no longer here was his only comfort.
It had been several years since his father had passed on to a more merrier existence than the one that he had lived. He spent almost the entirety of his life cooped up in the King's castle studying, compiling and writing his precious chronicles. He did get out from time to time and travelled the known world, but only to unearth some ancient text about the House of Blois.
Once Melaine of England and Corentin of Blois had passed on and the kingdoms were left in the hands of their sons and grandsons, Erwan of England and Eutrope of Blois, his fathers work, the task set upon him by the King, went on to be forgotten. It seemed that the only one that cared about it anymore was him.
He had asked the newly crowned monarchs for more coin to fund his research, but it only caused him to be locked in the castle dungeons for a fortnight. Several months later he attempted another audience with the Kings and was then ordered to gather his belongings and to leave the castle premises and never to return. Edmund Deschane was a devoted man and loved his family with all he could, but he cherished his work and loved it with his soul.
Upon returning home, after several years of absence, Edmund announced that he wouldn't be returning to Amiens and that he was home for good. Trestana, his wife, was ecstatic and did everything that she could to make Edmund happy and feel the warmth and goodness of their cottage, but there was something that Sandro saw in his fathers eyes that told him that his father would never acknowledge her feeble attempts to comfort him. She had passed away, some say from a broken heart, five winters ago and Sandro would never forget the look on her face when his father would not come to her side in her final moments. It was the look of utter defeat as the oncoming enemy rains down upon you.
It was one of absolute sadness.
Edmund delved back into his work like a ravenous wolf devours his weak prey as soon after Trestana passed away. He built on to the cottage an enormous study that he was able to lock himself him and continue his chronicles. That was the last that Sandro saw the man that he knew as his father.
After he had returned from a trip to an outlying village on the edge of the kingdoms territory Edmund began fortifying his home as if some distant lord was coming to march upon his lands and burn the cottage to the ground. Sandro asked his father what was going on, but Edmund only would say that he needed to keep it secret. That he needed to keep it safe. It was only a three days after that he died and took his secret with him to the grave.
Sandro looked at his old home and wondered what it would be like had his father never met the old king and was assigned to write the history of the House of Blois, but his daydreaming came abruptly to end as the sharp blade of the dagger nestled upon his throat.
"Where is your father's chronicles?"



#18 Denathor

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Posted 22 October 2017 - 04:59 PM

The History of House Blois, A Tale of Two Kingdoms
 
CHAPTER 3
 
In the pale moonlight the small village on the outskirts of France laid quiet. Only the crackling of wood from the various hearths could be heard. It was almost surreal to Edmund that there wasn't the slightest bit of stirring as he ventured through the narrrow allies
The dark alleyway was lit enough for Edmund to recognize the face of Arch Bishop Jocelin in the dead of night. He watched all around for any unexpected company and kept a close eye on the Arch Bishop in case this was all a ruse and he had walked directly into a trap. The last day had been intense and had been nerve racking for Edmund ever since the boy had brought a small note bearing the seal of of the Great Church emblazoned upon the wax seal. The scribbled writing of the Arch Bishop stating only to meet here to receive what he truly searched for.
The Arch Bishop must have had cast his own doubts as he too look around the dim surroundings. A bead of sweat trickled down the side of his face as he pulled several pieces of parchment out of his smock. A night like this would stain his holy vestments with sin if he had been wearing them.
"These documents were sealed by the Church long ago before you, and I, were ever born. I am only showing these to you in return for the copious amounts of gold you had donated so generously to the Church coffers, good sir. I am sure that I will find a proper use to allocate these newly acquired funds." He smiled in a sinister way as he displayed the old documents to Edmund. He read into the clergymans words and knew that he meant the gold would eventually find it's way to the Arch Bishop's treasury.
He shuffled through the papers as quickly as he could before any attention be drawn to the two strangers meeting in the alley at this hour. They looked to be an account of a councilman that was close to the head of old House Brittany about the fated meeting between them and House Blois. It seemed that all the old families of France had been in attendance, but save only one. Reading further along Edmund was shocked by what was discussed in this meeting that had taken place so long ago. He looked up to the Arch Bishop with suspicion in his eyes. "Are these documents real or were they forged for some malicious reason?" he asked. "Of course they are! Years ago this councilman was hung for treason here in this village by order of the Queen herself, Briagell. She then ordered the Arch Bishop then to send these documents with him in his grave, but for some reason he chose to seal them away without the Queen's knowledge." The holy priest began to pull back the documents as he explained to Edmund their authenticity, but Edmund clutched on to them with what seemed to be his life. They stared at one another for what felt like an eternity until at last the Arch Bishop let go and Edmund rolled them up and put them underneath his leathers close to his heart. "You do know what it says in this account?" Edmund asked the Arch Bishop. He simply nodded that he did indeed know.
Edmund began walking back to the inn he was staying in and the words from the documents swirled around in his mind. He knew that he had to immediately pack his things and return home, so that he could hide these papers somewhere to keep them safe. Not many in the capitol would be filled with joy if word had gotten out that old House Brittany and Blois joined together and started a revolution against their King, ‎Charles of Normandy‎.




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