15 replies to this topic

[Bulle]

Les messagers s’étaient rendus dans toutes les places de France, lors de l’hiver 1175, un évènement exceptionnel avait eu lieu dans le Royaume et tout à chacun devait désormais être au courant.

 

Oyez, Oyez,

A qui liront ou se feront lire.

 

          En ce mois de décembre 1175 s’est tenue pour la première fois une réunion au sommet en France. Les Ducs se sont réunis afin de conclure un avenir à leur pays. Ainsi, un long débat s’est déroulé dans une salle close afin que les oreilles indiscrètes ne puissent laisser échapper des informations. Au terme de ce concile, il en est sorti plusieurs bonnes nouvelles.

 

          Qu’il soit su qu’à ce jour, la France connait trois (3) candidats à l’accession au trône. Que les Ducs de la Marche et d’Anjou, ainsi que la Comtesse d’Albret sont appelés à déposer une candidature couchée sur papier accompagnée d’une charte ou de la ligne directrice qu’ils comptent suivre si la couronne leur revient. Les candidatures devront être publiées à la vues de tous afin que chacun puisse se faire sa propre opinion des sujets abordés.

 

          Dans un second temps, la question des conflits franco-français a été levée. Les Duchés d’Artois, de Champagne et de Bretagne devraient trouver un dirigeant dans les années à venir.

 

          Il est à noter qu’un débat cordial à été entretenu entre chaque personne présente et ceci est la plus grande preuve d’une paix et d’une unification possible de cette grande terre.

 

 

Etaient présent :

 

Kadou de Paris, Comte de Paris,

Eozen de Dijon, Duc de Bourgogne,

Denez d’Anjou, Duc d’Anjou,

Paskal de Bordeaux, Duc d’Aquitaine,

Kristoc’h de La Roche, Duc du Poitou

Eflama d’Albret, Comtesse d’Albret.

Per de Rodez, Duc de Toulouse était présent en début de réunion mais n'a pu rester jusqu'à son terme.

Les Ducs de Bretagne/Blois, de La Marche, de Normandie, des Flandes et du Puy n’ont pu se rendre à cette réunion et seront expressément tenus au courant des échanges qui ont été effectués.

 

 

Pour la France !

 

Rédigé à Dornes, hiver 1175.

Eflama d’Albret, Comtesse d’Albret.

[Bulle]

Un début de candidature, parce que ça ne trainait pas à Albret, ou à Dornes. On avait l'amour du travail bien fait mais surtout l'envie d'une progression permanente vers le haut.

Ainsi, même si la charte ne pouvait être rédigée sans la participation active de tous. La Comtesse fit publier sa candidature.

 

France,

Il est grand temps que ton identité nationale soit reconnue comme telle. Il est grand temps que les combats de coqs cessent ... même s’ils sont la spécialité de ton peuple !
Il est grand temps que tes membres ne te déchirent plus, mais se rassemblent contre l'ennemi commun à l'extérieur de tes frontières !
Tu es grande et prospère : montre-le aux autres royaumes du monde entier. Tu dois te tourner vers l'avenir et vers la paix intérieure !

Moi, Eflama d'Albret, j’aspire à réunir toutes tes forces sous une seule et même bannière, celle de la royauté !
J'aspire à une alliance forte et au soutien indéfectible de toutes tes composantes.

Ainsi, qu’il soit su que :
- Je m’engage à porter ta Couronne dans un but profondément altruiste.
- Je m’engage à servir tes intérêts et non ceux d’un individu ou d'un groupe d'individus.
- Je m’engage à pacifier les relations entre le nord et le sud.
- Je m’engage à établir des frontières justes pour chaque duché et à conserver le patrimoine particulier de chacun.
- Je m’engage à régner avec la plus parfaite transparence, ainsi nul ne sera lésé.
- Je m’engage à un équilibre des régnants, ainsi, chacun d’entre eux se verra pourvu de responsabilités royales.

Tout est à faire, tout est à construire.
Nous devons établir des offices mettant en avant les qualités de tous et permettant à la France de s’élever au plus haut de son prestige.
Je ne prétends pas gouverner seule et dans un premier temps, chaque Duc sera un conseiller indispensable de cette nouvelle royauté. Tous seront considérés comme des généraux  et feront partie de l’État-Major royal.


France,
Pour que tu vives enfin, libre et entière !

 

Rédigé à Dornes, automne 1176.

Eflama d’Albret, Comtesse d’Albret.

[ciryon]

A Valladolid, la vicomtesse Guidasse relisait la lettre de candidature de la comtesse d'Albret et se dit alors

"une femme sur le trône de France...ça serait peut-être enfin une bonne idée"

[Bulle]

Oyez, Oyez,

A qui liront ou se feront lire.

 

 

          L'année 1185 (samedi 13 décembre) sera celle du changement ! C'est à cette période là qu'auront lieu les élections royales de France. A l'issu de cette année, nous aurons un roi ou une reine.

 

          Les prétendants au trône sont :

               - La Comtesse d'Albret
               - Le Duc d'Anjou
               - Le Duc de Blois
               - Le Duc de la Marche
 

 

          Les votant seront au nombre de 13.

               - Le duché d'Aquitaine, représenté par la famille de Bordeaux
               - Le duché d'Anjou, représenté par la famille d'Anjou
               - Le duché d'Artois, représenté par la famille de Paris
               - Le duché d'Auvergne, représenté par la famille du Puy
               - Le duché de Blois, représenté par la famille de Blois
               - Le duché de Bourgogne, représenté par la famille de Bourgogne
               - Le duché de Bretagne, représenté par la famille de Blois
               - Le duché de Champagne, représenté par la famille de Troyes
               - Le duché des Flandres, représenté par la famille de Boulogne
               - Le duché de la Marche, représenté par la famille de Brantôme
               - Le duché de Normandie, représenté par la famille de Normandie
               - Le duché du Poitou, représenté par la famille du la Roche
               - Le duché de Toulouse, représenté par la famille de Rodez
 

L'élection se fera en 2 tours, ne conservant que deux candidats à l'issu du premier. Le second tour opposera les deux candidats ayant reçu la majorité des voix au premier tour.

 

 

Pour la France !

 

Rédigé à Dornes, hiver 1178.

Eflama d’Albret, Comtesse d’Albret.

[grem]

Le seigneur de Toulouse pris acte de la missive de la comtesse d albret et son sang ne fit qu un tour

 

Il appela un grouyaux  pour lui dictée une lettre a tous les Duc de France

 

Mes cher amis Duc,

 

Je serais bref dans mes propos

 

Je ne participerais pas  a cette mascarade d élection tant que la famille de Blois détiendra deux titres de duc,j exige qu il donne son titre breton a un breton avant de faire ces élections

 

Si l idée venait a lui prendre de le reprendre sitôt l élection passer,je me désolidariserais du Roy et engagerais ce que j estimerais nécessaire pour rendre ce duché a un breton 

 

Tant que ce ne sera pas fait mon duché ne reconnaitra aucun Roy

 

Qu il en soit ainsi

 

Duc de Toulouse et ces vassaux

 

[hippopince]

Blois avais connaissance de l'éventualité d'une élection pour désignez un roi. Mais la situation ne s'y prêtait guère pour commencé, de plus les élections c'est bien gentil, mais la façon de faire peut sortir une personne qui as plus de soutien que les 2 en tête lord du premier tours.

Blois décidas donc de faire un premier message à l'attention des autres duc, concernant la situation qui ne se prête pas à ce genre d'organisation.

Par la suite il allais présenter une proposition autre qu'un système de vote en 2 tour, et pour finir il allais surement voir à présenter sa propre Charte, du moins si les autres duc respectait sa première demande, car à défaut, il ne saurais y avoir de vote digne de ce nom.

 

 

Aux différent Duc de France, ainsi qu'à la Comtesse d'Albret, et en particulier aux Duc d'Aquitaine, et au Duc de Toulouse :

 

Sachez que pour qu'il puisse y avoir un vote digne de ce nom d'un roi de france, il me semble qu'il faut impérativement au préalable qu'il y ai un minimum de respect des duc les uns envers les autres.

Malheureusement, actuellement les Duc d'Aquitaine et Duc de Toulouse n'ont jusqu'alors pas montrer le moindre respect envers ma famille.

 

Pour commencé, ils m'on lâchement lancé des attaque, sans aucun contacte préalable, sans même me présenter la moindre revendications. Ils ne l'on fait qu'après, lorsque j'ai du venir leur demander les raison de cette attaque. Moi qui ai toujours montrer le désire de passé par la diplomatie lorsqu'il y avais le moindre problème, je trouve cela tout simplement irrespectueux de leur part.

Si ils avais des reproche à me faire, au point de venir en guerre contre moi, ils aurais du au minimum me présenter leur demande, me dire de quoi il en retournais, pour que je puisse voir ce qui pouvais être fait, si leur revendication sonnait juste.

 

 Pour le cas présent, ce n'est qu'après avoir lancez leur attaque qu'il on fait par du faite qu'ils trouvais que j'avais trop de seigneurie. Mais le fait est qu'il leur aurais simplement suffi de me dire que cela gainais nombre de personne, et qu'il faudrait que je fasse le nécessaire pour arranger cela, en voyant avec moi une date buttoir à laquelle je devrais avoir fait le nécessaires pour arranger la situation, sous peine de quoi ils devrais alors me déclarer la guerre.

Alors suite à ces guerres irrespectueuse, je ne voyais pas pourquoi je devrais de même les respecter, et c'est donc pour cela que je leur ai signez mes redditions, et que j'ai quitter le rassemblement de discutions, leur montrant ainsi le même respect qu'il avais montrer à mon égard.

 

Aujourd’hui encore ils y as ce manque de respects, car malgré que j'ai fait en sorte d'équilibrer mes seigneurie, ces derniers refuse de libérer la vassalité des titres qu'ils m'ont vassalisé.

Afin de réglé ce problème de respect entre nous, il n'y as pas 36 solution, d'une part ces 2 duc doivent libérer la vassalité de mes titres, pour montrer qu'ils respecte le faite que je me soit arranger pour distribuer mes seigneurie, montrant ainsi que j'avais respecter le désir des personnes que cela dérangeaient, et d'autre part ils devrons également me présenter leur excuse pour m'avoir lancé une guerre, sans même avoir présenter la raison de ce lancement de guerre.

 

Une foi que ces 2 choses serons faite, alors je serais en mesure de leur montrer à nouveau le respects que je leur doit, et alors nous pourrons, respectueusement, nous côtoyé pour discuter des affaires de la france, et notamment de celle de la mise en place d'un possible roi.

 

Soit dit en passant, le système proposé pour élire un roi ne me semble pas des plus équitables, j'aurais une proposition à faire concernant cela, mais c'est une autre affaire, vous la recevrez ultérieurement.

 

Bien cordialement,

Blois, Duc de Blois et de Bretagne.

 

Après avoir préparer cette missive, Blois en reçus une de la part de du Duc de Toulouse, il la lut vite fait, et étant donner la situation de ce manque de respect, il ne prit pas la peine de lui répondre, du moins pas pour le moment, surtout qu'il avais déjà donner son point de vue à ce sujet, et que les Breton soutenais le faite qu'il soit leur duc, et de faite, personne n'avais rien à redire concernant le faire que Blois soit leur Duc.

De plus le faite que ça soit Blois ou un seigneur de Bretagne qui ai le titre de Duc ne changerais rien vis à vis des élections, et cela Blois le rappellerais en temps voulu.

[Eileen]

[HRP]Posté pour le Duc d'Anjou qui n'a pas les accès pour le faire lui même[/HRP]

 

Le peuple français proclame solennellement son attachement a la souveraineté royale en vertu de cette charte et de ses principes.
La France est des lors un royaume indivisible, démocratique et uni. Il assure l'égalité devant la loi de tous des ducs, sans distinction aucune. Son organisation est fédérale et décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux titres et fonctions royal, ainsi qu'a ses institutions.

 

I. Le pouvoir législatif

 

art.1 Le pouvoir législatif est bicaméral, il est composer de la chambre des pairs ainsi que de la cours des comtes. Les seigneurs ne peuvent cumuler les sièges au sein des deux chambres.

 

art.2 La chambre des pairs est le collège des ducs de France, moins le duc monarque.
• Le collège ducal est intangible, sauf cas exceptionnel, et représente les intérêts de leur(s) duché(s).
• Il est présidé par le roi.
• La chambre des pairs nomme la liste éligible de la cours des comtes.
• Chaque duché doit proposer un comte.

 

art.3 La cours des comtes est la seconde chambre du parlement. Il est composé de 15 membres.
• Les membres sont choisis parmi l’ensemble des seigneurs détenant un titre de comte.
• Ils seront nommés par l’exécutif, sur proposition de la chambre des pairs.
• La cours des comtes a pour principale mission de nommer le duc du duché qu’il représente.
• Si un des ducs souhaite se démettre.
• Si une des familles ducale venait a disparaître.
• Si un des duc venait à perdre toutes ses possessions dans le dit duché.
• Si un des duc était demi suite à un conflit.
• Si la population de l’ensemble du duché décide, à la majorité absolue et le consentement de la chambre des pairs, de renier son duc.
• Afin de nommer un nouveau duc après la chute du roi

 

art.4 Le pouvoir législatif à le pouvoir, par un vote a la majorité des deux tiers des deux chambres, de désavouer le cabinet.

 

art.5 Le pouvoir législatif a comme compétence la révision par amendement de la charte sur proposition de la majorité absolu des sièges.

 

II. Le pouvoir exécutif

 

art.1 Le pouvoir exécutif du royaume de France sera exercé par le roi assisté de son cabinet.

 

art.2 Le cabinet de même que les membres qui le compose son nommer et révoqué par le roi selon son bon vouloir.
• La seul une condition de rang est exiger afin d’être nommé, ainsi tout seigneurs du titre de vicomte a duc son susceptibles de siéger au sein du cabinet.
• Les membres du cabinet son responsable individuellement devant le roi
• Les membres du cabinet son responsable collégialement devant le parlement.

 

art.3 Le roi est irresponsable politiquement
• En dans le cas ou il serait désapprouver par la majorité au deux tiers des sièges du parlement c’est le premier ministrable qui exercera l’ensemble des pouvoirs exécutif.
• En cas de nos respect des engagements de cette charte et si il est désapprouver par la majorité absolue du parlement le roi devra se démettre de sa couronne ainsi que de son titre.
• S’il s’y refuse les pairs de France seront alors en droit de lui déclarer la guerre.

 

art.4 Le roi est le commandant en chef des armés du royaume de France

 

art.5 Le roi seul a le pouvoir de déclarer une guerre à un autre état.
• En cas de non respect de cet article par un seigneur français, se reporter a la section juridique.

 

art.6 Le roi ne pourra lancer de guerre de reconquête au sein du royaume de France
• Excepté au sein de son propre duché.
• Excepté lorsqu’un titre autre que celui de roi le lui permet.
• Excepté a la demande ou avec l’accord du duc sur le territoire du quel se déroule la guerre.
• Excepté si la demande émane de l’un des membres de la cours des comtes lorsqu'une procédure de reniement a était approuvée par le parlement.
• Excepté si un ou plusieurs membres de la chambre des pairs, ainsi que leurs vassaux, agresse le monarque ou ses vassaux.
• Peux être considéré comme agression tout actes armé, injurieux, rabaissant ou asservissant envers le roi, l’un des ses vassaux direct ou un des résident de son duché.
1. Cf. Section II, art.3, seconde parie 2, paragraphe 1, exception qui autorise les actes armé en vers le monarque de France.
2. Cf. Section II, art.3, seconde parie 2, paragraphe 1 exception qui autorise les actes armés en vers ses vassaux ou sur son duché lorsque ceux-ci prennent partie pour le monarque.

 

art.7 Le roi possède un droit de veto sur les propositions de par amendement de la charte.

 

art.8 Le roi a l’initiative de révision de la charte par amendement

 

III. Le pouvoir judiciaire

 

art.1 Le roi détient le pouvoir judiciaire suprême, aucun jugement ne peut aller a l’encontre de son jugement.

 

art.2 Les ducs son juge en leur duché, ils représentent donc la parole royal qui ne peux donc être remis en cause.
• Le roi ne peut casser la décision d’un duc qu’a la demande de la majorité des résidents du duché.
• Le roi peut de lui-même cassé la décision d’un duc (cf. section III, art.3)

 

art.3 Le roi a un pouvoir de grâce sur l’ensemble de son royaume.

 

art.4 En cas de litige entre membre de la chambre des pairs la décision est redue par le roi.

 

IV. La souveraineté

 

A. La souveraineté externe

 

art.1 La souveraineté externe du royaume de France est représentée en la personne du roi de France.
• La personne du roi de France peut être représentée par toutes personne, mandatée par le roi, et revêt alors le titre de diplomate pour la durée de la mission confiée.
• Un des membres du cabinet a pour rôle défini de représenté la personne du roi au sein des puissances étrangères.

 

art.2 L’indépendance du royaume de France sur la scène international ne trouve pour limites que :
• La souveraineté d’un autre état
• Les conventions et traités que le royaume de France accepte de conclure.

 

B. La souveraineté interne

 

art.1 La souveraineté du royaume de France, lors de l’accession au trône du premier monarque du royaume de France, comprend le duché :
• des Flandres
• d’Artois
• de Champagne
• de Bourgogne
• de Blois
• d’Anjou
• de Normandie
• de Bretagne
• du Poitou
• de la Marche
• d’Auvergne
• de Toulouse
• d’Aquitaine

 

art.2 chaque duché est souverain au sein de ses terres et ne connait pour limites envers les autres duchés :
• La souveraineté d’un autre duché
• Les conventions et traités que le duché accepte de conclure

 

art.3 Les duchés de France acceptent de donner une part de leur souveraineté à l’état. Ceci comprend l’ensemble des pouvoirs régaliens.

 

art.4 Le roi ne peut être demis de son duché.

• Excepté Cf. Section II, art.3, seconde parie 2, paragraphe 1

 

[ciryon]

message édité

[Bulle]

Je rappelle que les votants sont au nombre de 13.

 

               - Le duché d'Aquitaine, représenté par la famille de Bordeaux
               - Le duché d'Anjou, représenté par la famille d'Anjou
               - Le duché d'Artois, représenté par la famille de Paris
               - Le duché d'Auvergne, représenté par la famille du Puy
               - Le duché de Blois, représenté par la famille de Blois
               - Le duché de Bourgogne, représenté par la famille de Bourgogne
               - Le duché de Bretagne, représenté par la famille de Blois
               - Le duché de Champagne, représenté par la famille de Troyes
               - Le duché des Flandres, représenté par la famille de Boulogne
               - Le duché de la Marche, représenté par la famille de Brantôme
               - Le duché de Normandie, représenté par la famille de Normandie
               - Le duché du Poitou, représenté par la famille du la Roche
               - Le duché de Toulouse, représenté par la famille de Rodez

[Matheus]

La famille du Puy, représentant le Duché d'Auvergne, donne sa voix à la Comtesse d'Albret.

[Talona]

*La duchesse de la Marche avait annoncé le retrait de sa candidature mais elle ne l'avait jamais officialisée. D'un geste de la plume, elle signa de manière officielle le retrait de cette candidature car elle était fatiguée des intrigues et des complots, le trône était un nid de vipère dans lequel elle ne souhaitait plus s'engager.  Bien évidemment, il fallait élire un Roi ou une Reine, la duchesse de la Marche devait faire un choix.

Ce choix était cruel à faire, mais il fallait designer celui qui pourrait représenter la France : le duc de Blois avait l'expérience et la retenue. Le duc d'Anjou avait le charisme et l'esprit affuté d'un souverain. La comtesse d'Albret avait la diplomatie et la sagesse*.

 

La famille de Brantôme, représentant le Duché de la Marche, donne sa voix à la Comtesse d'Albret.

[Eileen]

Le Duc d'Artois allait dans les couloirs d'un pas rapide. Il cherchait la salle dans laquelle se tenait le vote pour le choix du Roy de France.

Le moment était important, crucial. L'avenir du Royaume de France allait dépendre de l'homme ou de la femme qui allait monter sur le trône.

Le Duc d'Artois, était plongé dans ses pensées les prétendants n'étaient pas forcément nombreux mais ils avaient des atouts différents.

Avant son accession au titre de Duc, il ne connaissait que très peu les Ducs de France hormis ceux qui avaient été ses suzerains, Blois, Bourgogne et Anjou.

Il avait appris à découvrir les autres ainsi que les forces de chacun depuis le début de la crise avec l'Espagne. Crise qui il fallait l'avouer avait permis au Nord et au Sud de la France de se rapprocher et de travailler main dans la main et de manière bien plus efficace que tout ce qui aurait pu être tenté par ailleurs.

Tous, ou presque, étaient unis dans la volonté de faire s'élever le Royaume de France.

 

Roparz de Paris était entré dans la salle, la Duchesse de La Marche venait de donner sa voix et semble-t-il de retirer sa candidature. Son tour allait venir.

Restaient donc, le Duc de Blois, le Duc d'Anjou et la Comtesse d'Albret.

 

En ce qui concernait le Duc de Blois, il n'y avait pas d'hésitation. Le Duc artésien savait reconnaître l'importance de la diplomatie, d'ailleurs pour lui c'était une des qualités essentielle pour un Roy avec les connaissances militaires. Cependant, récemment, Blois n'avait tenu compte de l'importance de préserver une terre française entière et intacte et cela jouait aujourd'hui en sa défaveur.

 

Quant à la Comtesse d'Albret et au Duc d'Anjou, tous deux étaient bien placés pour pouvoir un jour monter sur le trône de France et les représenter tous. Leurs candidatures étaient sérieuses et ils avaient tout deux des atouts.

 

Il lui fallait donc décider de celui ou celle qui en présentait le plus ou qui présentait les plus importantes qualités.

 

Son tour était maintenant arrivé et tous attendaient qu'il se prononce.

 

La famille de Paris, représentant le Duché d'Artois, donne sa voix au Duc d'Anjou.

[hippopince]

Malgré ses réticence, la famille de Blois vins quand même voté, bien que pour lui ce vote ne pouvais normalement pas avoir commencé.

 

La famille de Blois, représentant les Duché de Blois et de Bretagne, donne sa double voie au Duc d'Anjou.

 

 

Je rappelle que les votants sont au nombre de 13.

 

               - Le duché d'Aquitaine, représenté par la famille de Bordeaux
               - Le duché d'Anjou, représenté par la famille d'Anjou
               - Le duché d'Artois, représenté par la famille de Paris  Anjou
               - Le duché d'Auvergne, représenté par la famille du Puy Albert
               - Le duché de Blois, représenté par la famille de Blois Anjou
               - Le duché de Bourgogne, représenté par la famille de Bourgogne
               - Le duché de Bretagne, représenté par la famille de Blois Anjou
               - Le duché de Champagne, représenté par la famille de Troyes
               - Le duché des Flandres, représenté par la famille de Boulogne
               - Le duché de la Marche, représenté par la famille de Brantôme Albert
               - Le duché de Normandie, représenté par la famille de Normandie
               - Le duché du Poitou, représenté par la famille du la Roche
               - Le duché de Toulouse, représenté par la famille de Rodez

[Bulle]

Oyez, Oyez,

A qui liront ou se feront lire.

 

         Qu'il soit su de tous qu'en raison des élections avortées et du retrait de la candidature du Duc d'Anjou, les ducs de France ont choisi majoritairement de se rallier derrière la Comtesse d'Albret.
De fait, les élections ne sont donc plus d'actualité et les Duc français sont conviés à se vassaliser à la Comtesse d'Albret. Chaque noble est également invité à soutenir la création du Royaume.

         En ce qui concerne le cas du Duc de Blois et de Bretagne, la Comtesse d'Albret réclame le titre de Duchesse de Blois.

 

 

Pour la France !

 

Rédigé à Dornes, 1187.

Eflama d’Albret, Reine de France.

[Ellianna]

Dans la citadelle d'Oria, capitale des Siciles, en une fin de journée ensoleillée... Janvier 1188

 

 

 

Gouwlem leva les yeux de ses parchemins. Au loin le pâle soleil se couchait, la fraîcheur des soirées d'hiver commençait à se faire sentir, il soupira.

 

*Une journée de plus et je n'ai, hélas, pas lu tous ses rapports d'activités qui arrivent des autres royaumes....*

 

Replongeant dans sa lecture solitaire, il ne fit attention au jeune scribe qui rentrait sur la pointe des pieds dans l'office. Ce dernier, timide et respectueux n'osa pas déranger. Passant d'un pied à l'autre durant de longues minutes, ne sachant comment réagir. Finissant par prendre son courage à deux mains, le garçon déposa un parchemin sur le coin de la table, pensant rester inaperçu. 

 

Divi ! Le maître scribe ne t'a donc rien appris ??? grommela le souverain, Il va te falloir apprendre plus rapidement que cela, et chassez cette peur ! Aucun froussard de ton espèce ne reste longtemps dans ce château ! 

 

Goulwen réprima un sourire en voyant la face de Divi devenir aussi blanche que la neige, ses yeux se posèrent sur le parchemin. 

 

Qu'est-ce que donc ? 

 

Un... le jeune Divi se racla le fond de la gorge, se redressa, un message provenant de France, Vostre Majesté, des gens de la comtesse d'Albret. Il est est arrivé à l'instant. 

 

Décachetant le seau français, Goulwen parcouru rapidement la missive. Satisfait, il prit la plume et un parchemin et y déposa quelques phrases qui feront date dans l'Histoire des Siciles, de la Triple Alliance et de la France. 

 

 

Janvier 1188, Oria, Siciles, 

 

A la comtesse Eflama d'Albret, vicomtesse d'Albret, 

 

 

Nous Gouwlen II des Deux Siciles félicitons Eflama d'Albret pour son élection au rang suprême du royaume de France. 

Nous félicitons les Ducs et Pairs de ce futur royaume d'avoir su mettre de côté leurs différences et avancer ensemble pour la gloire de leurs terres, cette unification et élections sont des grands actes de sagesse et de courage auxquels peu peuvent prétendre. Nous sommes honorés d'en avoir été le témoin et le contemporain. 

 

Nous vous apportons amitiés, respect et espérons entretenir de longues et prolifiques relations entre nos royaumes et nos familles. 

 

Que Dieu apporte au trône de France puissance, justice, équité et sagesse pour les années à venir, 

Que le règne de Vostre Majesté et de son héritière, la princesse Franseza soient longs, prospères et pacifiques.

 

Avec amitiés et respects, 

 

Gouwlen II des Deux Siciles, Roi des Deux-Siciles

 

 

Il reposa sa plume, relut la missive et en fut satisfait. Prenant la cire de la bougie voisine et apposant son seau royal de sa bague en or, il rappela le jeune scribe. 

 

Divi ! Reviens ici ! Apporte ceci à la Tour aux Envols, pour la Reine de France ! 

[ciryon]

Janvier 1188, Valladolid, Espagne

 

A la comtesse Eflama, comtesse d'Albret,

 

Moi, le vicomte de Valladolid, représentant de l'Espagne vous félicite pour votre accession au trône de France. Puisse votre élévation au titre de reine puisse apporter paix et stabilité à votre royaume.

 

Comme il est de coutume chez nous à l'occasion de ce genre de cérémonie, mon messager est chargé de vous offrir cette cette lame de Tolède, forgée par l'artiste attitré du Roi d'Espagne. La poignée est tissée de soie d'Orient et le pommeau est rehaussé d'une émeraude des mines d'Afrique. La lame en est gravée aux armoiries de nos deux pays et reflète l'entente dont nous jouissons.

 

Avec amitiés et respects, 

 

Rio, vicomte de Valladolid