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[Enzo]

Enfant, il avait été un garçon capricieux, turbulent, furieux. De son père pourtant, il en retenait un homme bon, calme, diplomate qui avait su rassembler et unir l'Angleterre et la rendre prospère et libre. Cependant, Jestin n'avait ni la patience, ni le caractère de son défunt père et il s'était fatigué, las de cette inactivité angloise. L'enfant devenu vieux était donc parti en guerre contre la France, s'alliant alors avec le Danemark et l'Allemagne. Il fallait néanmoins savoir être raisonnable parfois, et si cette guerre lui avait redonné sa jeunesse, il ne fallait pas en abuser et s'inscrire dans l'histoire comme un tyran. Il s'était donc assis avec son bras droit, Judikael de Swindon, Duc de Mercie pour rédiger ce qui serait peut-être, le traité de paix qui viendrait scellé la fin de cette guerre européenne.

À tout les seigneurs français
À tout ceux qui lirons ou ce ferons lire,

Greetings,

Maintenant cinq ans que les sièges s’accumulent, que les combats ne cessent, que des soldats tombent et que des femmes et enfants deviennent veuves et orphelins.
Cinq à progresser plus que nous l’aurions cru, en cette vaste terre qu’est la France.
Cinq ans à attendre que l’homme qui se proclamait futur Roi, ne dédaigne venir nous parler pour faire cesser ses batailles, trouver une entente.

Ce faisant, nous considérons que la maison de Fécamp n’a plus aucune légitimité pour revendiquer la couronne de France et invitons les nobles français à trouver un successeur digne de ce nom. Réclamons que les maisons liées par lien de suzeraineté ou de vassalité à la Duchesse d’ Artois brisent leurs liens.

En réaction à l’attaque traitresse de la part des Maisons de d'Aix-la-Chapelle et de Lille, nous informons que ce dernier devra se rendre en tant que vassal du duché de Flandres, vassal du roi d'Angleterre, ou bien ferons tout pour qu’il ne soit plus une gêne concernant pour l’Angleterre.

Faisant suite à une demande d’une maison à ce que la guerre ne s’éternise pas, nous demandons, au nom de l’Angleterre et de ses vassaux :

- 1 000 000 livres sur 10 ans
- Un Duc de Normandie anglais, qui fera néanmoins allégeance à la couronne française
- Les Seigneuries de : Barfleur, Coustance Avranches et Falaise, sises en Normandie
- La séparation du Duché de Flandres de la Couronne de France
- Que le Duché de Flandres devient territoire anglais et vassal de la couronne d’Angleterre
- Les seigneuries Calais, Boulogne et Montreuil en Flandres
- Un mariage royal entre les deux maisons royales, Reading et celle future de France.
- La non prétention royale de la maison de Fécamp
- Pour sa reddition rapide, le Comté de Rouen à la maison de Rouen
- La paix entre l’Angleterre et la France et une aide soutenue dans les guerres, civiles ou non, dans les deux sens.
- Une entraide commune entre les deux maisons royale et une communication ne lésant aucun des parties
- Une entente de non agression pour les trente prochaines années

Pour les seigneurs d’Allemagne et du Danemark :
- L’abandon par les seigneurs français de tout territoire au sein du royaume de Germanie. Ainsi, les seigneurs d’Aix-la-Chapelle, Bruges et Valenciennes perdent l’ensemble de leurs villes actuelles, y compris Anvers (seule revendication germanique sur le territoire français). De même, le seigneur de Melun perd Barr, et le seigneur de Nancy perd Nancy.
- La maison d’Aix-la-chapelle devra de virer ses troupes actuellement sur Anvers.
- Le seigneur Aix-la-Chapelle se verra céder deux seigneuries par le seigneur d’Hazebrouck, le choix de celles-ci restant à déterminer entre ces deux maisons.
- Les seigneurs Valenciennes et Bruges seront accueillis par le seigneur Toro en Espagne et en Provence et y trouveront de bonnes terres.
- Les seigneurs de France s’engagent à céder une seigneurie quelconque au seigneur de Melun, si cela est nécessaire pour lui faire accepter de perdre Barr (nous récompensons ainsi sa reddition rapide).
- Les maisons de Luxembourg et de Monthois deviennent vassales du seigneur Hof.
- La France versera aux seigneurs allemands la somme de 700 000 livres.
- L’ensemble des seigneurs français s’engage à ne jamais s’emparer d’une ville allemande, même en cas d’inactivité de son possesseur légitime.

Enfin, pour assurer l’équilibre des forces en Europe de l’Ouest, nous demandons à ce que les seigneurs de Bourgogne puissent choisir librement d’être ou non vassaux de seigneurs français. S’ils en décident ainsi, l’influence française en Bourgogne devra ainsi cesser, et le roi de Bourgogne devra être bourguignon.

Il est également important de notifier que, une fois que les conditions de redditions auront été convenues, nous devrons attendre, pour signer la paix effective, un accord entre les royaumes d’Espagne et de Deux-Siciles, car la paix en Europe de l’Ouest doit être totale.

Si ces revendications sont acceptées et signées, nous nous engageons à rendre les seigneuries prises, sauf celles susmentionnés et à ne pas attaquer les seigneuries participant à la paix ou voulant rester neutre, à la condition que des droits de passages soient accordés, au besoin. Il va s’en dire que le retour des troupes anglaises en leur territoire se devra d’être fait sans encoches, au risque de causer une causus belli.

Pour l’Angleterre,
Jestin de Reading, Roi d’Angleterre

Pour l’Allemagne-Danemark,
Mazheva de Hof, comtesse de Nuremberg

[HRP : Pour les détails purement IG, notamment concernant le Duché des Flandres, il serait préférables d'en parler entre joueurs, pour ne pas gâcher le côté RP des revendications. Merci.]

[Batonnoir]

Royaume des Deux-Siciles

Proposition de paix


Judikael de Rodez, Comte de Rodez, Je vous transmets notre proposition de paix. Nous revendiquons de jure les territoires qui sont inscrits sur la carte ici présente. Je tiens à préciser devant toute levée de boucliers, que ça correspond à deux trois villes près au territoire initial du seigneur d'Andorra la Vella, qui n'est plus. Qu'en toute logique, ça ne lèse que lui et les éventuels seigneurs qui souhaitaient se partager ses terres. Rajoutons par la présente que nous réclamons le titre de duc d'Aragon, vassal du roi d'Espagne, pour un Deux-Sicilien. Qu'à titre de compensation financière, nous demandons 1 million d'écus. Estimons que cette proposition est la seule valable à nos yeux afin de maintenir un paix durable entre nos deux nations. Finalement, cette proposition ne sera valable que si vous cessez les conflits avec les Germains/danois et anglo-Irlandais. Nos revendications sont donc liées. Paix à vous, Maho de Rausa Roi des Deux-Siciles http://www.hostingpi...endications.jpg

Par Maho de Rausa,
Roi des Deux-Siciles

[Hizzo]

Morlaàs, duché d'Aquitaine.

Debout devant une fenêtre de sa fenêtre, la duchesse Houarneven ne se lasse pas du spectacle que lui offre la vue sur les montagnes. S'il y avait une chose positive à retenir des derniers événements, c'est de lui avoir permis de découvrir cette région magnifique. Elle se dit qu'elle devait à nouveau remercier le duc d'Aquitaine d'avoir mis à sa disposition ce petit domaine. Néanmoins la vie loin de sa Flandre natale lui était de plus en plus difficile et il lui tardait de pouvoir rentrer chez elle. Heureusement qu'elle parvenait à tuer le temps en mettant à profit les talents de bâtisseurs bien connus dans sa famille.

On frappa et son fidèle intendant entra à son invitation.

Duchesse, nous avons reçu les revendications des germano-anglais.

Elle prit le parchemin qu'elle lut attentivement. Elle ne regrettait en rien ses choix, elle avait fait le choix de rester fidèle à ses amitiés, comme l'auraient fait avant elle son père et son grand-père. Elle grimaça par contre à la vue du sort réservé à son allié et ami le duc de Basse-Lotharingie ainsi qu'à ses vassaux. On ne les a pas assez protégé songea-t-elle. Elle se souvint des longs moments passés avec son grand-père, Bob de Lille, premier duc de Flandre. Il avait toujours passé du temps avec sa petite fille, tâchant de lui transmettre les valeurs de la famille. Une phrase en particulier lui revint alors à l'esprit : Traite un ennemi vaincu avec respect et tu t'en fera un allié sûr, humilie-le et tu fera naître en lui de profonds sentiments de rancœur et de haine. Aujourd'hui elle mesure totalement le sens de ces paroles.

[Scipio]

Au nom du Seigneur.

Nous, Jakez de Dax, Duc de Savoie, Chef de la Maison de Dax ;
Nous, Alouarn de Dax, Duc d’Aquitaine ;
A tous présents et advenir salut !

La guerre qui aujourd’hui parcourt l’Europe n’est qu’une vaste mascarade, l’Angleterre et la Germanie se sont alliés dans un pacte digne du diable afin de faire régner la terreur sur le Royaume de France. Prétextant une menace sur leurs royaumes respectifs, ceux-ci ont décidé de s’emparer du notre. Alors même qu’un pacte d’amitié avait été adressé de notre part au Royaume d’Angleterre.

La terreur n’a qu’assez régné, beaucoup trop de nos fils sont morts sur les champs de bataille, beaucoup trop de nos femmes ont été violées par des troupes sanguinaires. Les ennemis cherchent à imposer une paix humiliante au Royaume de France.

Egalement, alors même que des tractations étaient en cours pour la paix, les agressions de l’ennemi ne cessent pas. Et quel est cet ennemi alors même qu’il se dit vouloir la paix continue la guerre en pleines négociations ? Il n’est pour nous pas d’ennemi moins digne.

La Maison de Dax avait juré de défendre son Royaume, de participer à sa gloire. Elle n’en est plus capable.

Ainsi qu’il soit su de tous que la Maison de Dax se retire du Royaume de France, nos terres d’Aquitaine seront offertes à la Maison de Mont-de-Marsan qui toujours nous as servi sans failles et jamais n’a remis en doute son engagement, qu’importe la situation. De père en fils la Maison de Mont-de-Marsan a toujours su vivre dans l’honneur et c’est pour cela qu’elle seule doit régner sur le Duché d’Aquitaine. J’ose espérer que nos ennemis sauront respecter cette volonté.

Egalement, la Maison de Dax sait reconnaître sa défaite et s’engage à restituer l’intégralité de leurs villes aux seigneurs Bourguignons, à la condition seule qu’ils se désengagent de ce conflit et jurent à jamais de ne jamais agresser le Duché d’Aquitaine et le Royaume de France.

Aujourd’hui, la Maison de Dax est vaincue mais son honneur est sauf. La Maison de Dax ne saurait se corrompre avec des ennemis qu’elle ne respecte point. Ainsi elle se retire la tête haute, les vainqueurs ne pourront en dire autant.

Que le Très Haut sauvegarde le Royaume de France de la bêtise et l’ignorance.

Pour l’Honneur et pour la Gloire,
Jakez de Dax,
Chef de la Maison de Dax.

Pour l’Honneur et pour la Gloire,
Alouarn de Dax.

[Enzo]

À tout ceux qui se feront lire,

Greetings,

Qu'il soit su que...

La maison de Rodez et de Thiers ont payé la somme de 500 000 livres que nous entendions depuis un moment, scellant ainsi une partie de la paix avec la France. Qu'ils en soient remercié.
La maison de Guéret ainsi que les maisons d'Angleterre sont maintenant en paix.
Nous attendons que les maisons de Châtillon - avec remise de la ville de Barfleur de façon officielle - et de Lille fasse de même avec les guerres dans lesquels les anglais sont impliqués.

Il est maintenant temps que la paix soit officielle et qu'un traité en bonne et du forme de paix soit enfin signé de la part du futur roi, le Duc de Poitou.

Pour l'Angleterre,
Jestin de Reading, Roi d'Angleterre

[Batonnoir]

Traité de paix

Concernant la guerre opposant le royaume des Deux-Siciles, les maisons de Corse et Sardaigne avec les maisons espagnoles, portugaises et celles appartenant à l'Alliance Pyrénéenne




Article I

Les deux parties signent le présent traité de paix à condition que la paix soit signée entre l'alliance germano-anglaise et les maisons françaises et espagnoles avec lesquelles ils sont en guerre.

Article II

La partie espagnole et pyrénéenne s'engage à verser 800 000 écus au Royaume des Deux-Siciles.

Article III

Le royaume des Deux-siciles et ses alliés prennent possession de douze villes sur sol aragonnais : vale, fortaleza, valence, castellon, reus, taragone, mollerussa, cardanyolla del vallès, barcelone, palamos, palma de majorca et ciutadella.

Dans la mesure où leurs propriétaires originels détiendraient le contrôle de jure, la cession des villes se fera par cession de seigneurie. Dans le cas contraire, il faudra investir ces seigneuries militairement.

Article IV

Le Royaume des Deux-siciles et ses alliés ne portent pas de revendications sur le titre de duc d'Aragon. Les revendications titulaires portent sur le titre de comte de Barcelone et les titres afférents aux terres Deux-siciliennes en Aragon.

Le comte de Barcelone aura suzeraineté sur les terres Deux-Siciliennes (et leurs alliés) en Aragon. Lequel Comte de Barcelone sera vassal du futur roi d'Espagne.

Le lien de vassalité, communément entendu, implique pour le vassal de défendre son suzerain si celui-ci est attaqué subitement et vice-versa. Est laissée à l'appréciation du vassal la décision de se ranger du côté de son suzerain si celui-ci s'engage dans une guerre d'agression ou rejoint une partie belligérante d'un conflit de son plein gré.

Article V

La signature de ce traité implique un cessez-le-feu immédiat. Une fois les douze villes cédées au Royaume des Deux-siciles et ses alliés, un pacte de non-agression sera effectif pour une durée de 50 ans entre les deux parties signant le traité de paix.


Pour le royaume des Deux-Siciles, les maisons de Rostino et de Bonifacio

Maho de Rausa

Pour l'alliance pyrénéenne, les maisons de la péninsule Ibérique : Arcos, Toro, Santiago de Cacem, Tauste, Castre, Ferrol, Brozas, Mirandella, Teruel, Rodez, Malaga, Llanes

Judikael de Rodez

[Consi]

why only 2 Italian houses sign the peace? several fought, please include them in the list, just as you included ours

[Volkmar]

Cause Rostino and Bonifacio are not vassals of Rausa, whereas all the other ones are. Because Rostino and Bonifacio are not in Sicilia

[Louis]

Corentin de Parthenay devait bien rigoler au ciel qu'il avait rejoint en voyant ce que devenait son neveu. Alors que la Maison de Parthenay avait tout fait pour s'écarter au possible des responsabilités politiques, Servan de Parthenay, l'actuel Duc du Poitou devenait finalement un peu malgré lui, prétendant au trône de France. La seule réalisation politique d'envergure de la Maison de Parthenay avaient été jusqu'à présent de donner une reine au Royaume des Deux-Siciles en la personne de Morgana de Parthenay.
Mais la guerre contre l'Angleterre et l'Allemagne laissait un Royaume de France divisé, ruiné et morcelé. Hors, une voix, puis d'autres s'étaient élevées pour le désigner prétendant au trône de France à la suite du retrait de la Maison de Fécamp. Pas de chance, ça tombait sur lui.
Il avait bien tenter de retourner le problème dans tous les sens pour essayer de trouver quelqu'un de mieux placé, mais force était de constater qu'il était effectivement et probablement le mieux placé pour unir le Royaume de France.
Servan de Parthenay, qui n'aspirait qu'à une vie tranquille dans le Poitou, à discuter avec son voisin de la Marche, à aller à la chasse et éventuellement de devenir diplomate du Royaume de France (c'était là toute l'ambition qu'il avait pu nourrir), se retrouvait affublé du titre ô combien instable de "futur roi de France". Vu le destin de son prédecesseur, il s'en serait bien passé.

Il avait finalement réussi à se convaincre, et la confiance que lui donnait les ducs de France était véritablement appréciable et encourageante. C'est là qu'il puiserait la force dont il aurait besoin.

Cela faisait maintenant plusieurs années qu'il planchait sur la paix, discutant avec les représentants anglais et allemands et les seigneurs de France. La paix était proche, et il espérait qu'elle soit durable. Très bientôt, il apposerait son scel sur un traité qui scellerait l'entente dans l'Ouest de l'Europe.

[Malfor]

GWILHERM DE MARTIGNY COMTE D'ANNECY

Nous Comtes et Ducs de Bourgogne,Déclarons ne plus tolérer les incursions belliqueuses multiples sur le territoire de la Bourgogne opérées par les troupes du Comte d'Auvergne.
Nous qualifions ses agissements de casus Belli.Nous remettons en cause la réalité d'un traité de paix qui aurait pour conséquence de faire peser une menace sur notre territoire.
Nous déclarons la personne du Comte d'Auvergne, personæ non gratta sur le territoire Bourguignon.

Fait à Martigny en l'an de grâce 1187

[Deldor]

Aux seigneurs concernés,

Je suis attristé par toute cette histoire, qui dure et perdure, instaurant dans les cœurs l'amertume et la déception. J'étais autrefois l'ami et l'allié d'un seigneur Bourguignon, voila qu'aujourd'hui, j'en suis devenu le pire ennemi.

Mes revendications sont pourtant modestes, comparer à toutes celles que nous avons pu lire ; garder Vienne qui me fut légitimement léguée par un traité de paix. Accepter cette revendication aurait permis de faire de moi le meilleur des voisins et le plus loyal des alliés. Mais l’appétit des Bourguignons est vorace et sans fin, non contents d'avoir gagné par félonie leur indépendance et récupéré plusieurs villes, ils cristallisent le conflit autour d'une seule: Vienne.

Aujourd'hui Vienne est assiégée pour la troisième fois. Aujourd'hui je suis déclaré personae non gratta. Aujourd'hui les Bourguignons ont fait de moi leur pire ennemi. La guerre qui se voulait concentrée uniquement sur Vienne et son territoire est terminée. Que le monde sache que la maison de Montpensier rentre seule dans une guerre totale contre le royaume de Bourgogne.

Pour l'honneur,
Jagu de Montpensier.

[Louis]

Le Duc du Poitou, représentant des seigneurs français engagés dans la guerre contre l'Angleterre et les germains apposa sa signature sur le traité de paix.

Aujourd'hui, la plupart des points ont été vus et accordés. Nous demandons donc que les seigneuries détenues par des seigneurs anglais soient confiées à des seigneurs français comme le prévoit le présent traité.
Pour certaines des seigneuries détenues par les allemands, il nous faudra un peu plus de temps, notamment du fait que nous ne pouvons nous engager pour des seigneurs qui ne sont pas français aujourd'hui. Mais cela viendra.
Ainsi, nous annexons au présent traité, comme convenu, une première liste de seigneuries que nous souhaitons voir restituer.

Annexe 1 - première rétrocession de villes

Les seigneuries suivantes seront cédées sans contrepartie aucune aux seigneurs nommés ci-après :

Fécamp : seigneur de Chateaudun
Brosse : seigneur de Moulins
Orléans : seigneur de Chateaudun
Chartres : seigneur de Montmirail