[RP]Regnum Teutonicum

12 Septembre 1199,
Cela faisait soixante ans que Lenaig dirigeait la famille Von Güstrow. Mais, si son pére et son grand-père avant elle avaient fait de leur famille une puissance au nord de l'Allemagne, ayant été parmi les premiers à devenir Comtes, Lenaig, elle, n'avait vu que la chute de sa famille. Certes elle n'avait perdu aucune guerre, certes elle était devenue Duchesse, mais cela était du à la régence qu'avait exercer son oncle Hoel pendant près de huit ans. Après sa mort, Lenaig n'avait fait qu'administrer ses domaines, voyant progressivement l'Europe entrer dans les dangereux rouages de la guerre.
Mais elle n'y avait pas participer.
Elle ne s'y était pas couverte de gloire comme les maisons Von Hof ou Van Namur. Même ses propres vassaux, les Von Greifswald, que sa famille avait aidé à croitre, étaient désormais plus puissants qu'elle ainsi que Duc de Schwyz depuis quelques mois.
Mais cela allait changer.
Toute l'Europe s’apprêtait à former des Royaumes. Anglais, Hongrois, Portugais et tant d'autres, tous se constituaient, se choisissant des Rois. Or la Germanie ne le faisait pas. Il était temps que cela change. Aussi, décidant que l'heure était venu pour les Von Güstrow de revenir sur le devant de la scène, une invitation fut envoyer aux hautes maisons de Germanie afin de se choisir un Roi, si possible parmi les Ducs, ceux-ci étant au nombre de sept, en la ville de Rostock en Duché de Poméranie.
Sept invitations furent envoyés aux maisons:
-Von Greifswald, Duchesse de Schwyz
-Von Hof, Duchesse de Misnie et de Franconie
-Von Brandebourg, Duchesse de Brandebourg
-Van Namur, Duc de Hollande
-Van Namur-de Hollande, Duc de Basse-Lotharingie
-Von Paderborn, Duc de Saxe
-Von Gotha, Vicomte d'Erfhurt

Année 1199 de nôtre Seigneur,

Moi, Lenaig Von Güstrow,

Déclare que, la Germanie ayant le plus grand besoin d'un Roi en ces temps troublés.

D'un Roi vers qui le peuple de Germanie puisse se tourner,

D'un Roi qui unirait une bonne fois pour toute le Royaume de Germanie, en lui fixant des frontières et des lois,

D'un Roi qui saurait assurer la pérennité de la Germanie et des objectifs fixer durant la guerre en Europe de l'Ouest,

A savoir une paix générale et le bon respect des entités territoriales et de leurs familles dirigeantes.

J'invite pour cela chacune des grandes familles du Royaume à se réunir en ma ville de Rostock afin,

De décider qui sera couronner Roi ou Reine de Germanie,

Et, chacun des possibles candidats devra proposer des objectifs ou des idées que se devra de suivre la noblesse du Royaume.

Écrit le 12 septembre de l'an de grâce 1199, en le château de Güstrow, Comté de Mecklembourg.

Signé:

Lenaig Von Güstrow,

Chef de la Maison Von Güstrow,

Duchesse de Poméranie,

et Comtesse de Mecklembourg

September 12, 1199,
That was sixty years since Lenaig led the family Von Güstrow. But if her father and her grandfather before her, had give their power to their family in the north of Germany, having been among the first to become Counts, Lenaig, she, had seen the fall of her family. Certainly she had not lost any war, she became Duchess of course, but this was due to the regency that had exercised her uncle Hoel for nearly eight years. After his death, Lenaig had done that administering its areas gradually seeing Europe into hazardous machinery of war.
But she had no part.
She did not covered in glory as the Von Hof, Van Namur or other houses. Even his own vassals, the Von Greifswald, that her family had helped to grow, they was now more powerful and Duke of Schwyz in the late months.
But that would change.
All Europe was preparing to form kingdoms. English, Hungarian, Portuguese and many others, all of them were, to choosing their Kings. Something that Germania did not do. It was time to change that. Also, deciding that the time had come for Von Güstrow back on the front of the stage, an invitation was sent to the great houses of Germany in order to choose a king, if possible from the Dukes(they was seven) in the city of Rostock, Duchy of Pomerania.
Seven invitations were sent to the houses:
-Von Greifswald, Duchess of Schwyz
-Von Hof, Duchess of Franconia and Misnia
-Von Brandenburg, Duchess of Brandenburg
-Van Namur, Duke of Holland
-Van-Namur-of Holland, Duke of Lower-Lotharingia
-Von Paderborn, Duke of Saxony
-Von Gotha, Viscount of Erfhurt

1199 year of our Lord,
Me, Lenaig Von Güstrow
States that the Germany have the greatest need of a king in these troubled times.
Of a King to whom the people of Germany can turn,
Of a King who would unite once and for all the Kingdom of Germany, setting him borders and laws,
Of a King who can ensure the sustainability of Germany and objectives set during the war in Western Europe,
Namely general peace and good respect for the territorial entities and their ruling families.
That's why I ask each of the major families of the Kingdom to meet in my city of Rostock to,
Decide who will be crowned King or Queen of Germany,
And each of the possible candidates will propose objectives and ideas that will follow the nobility of the Kingdom.

12 September of the year of grace 1199 in Castle Güstrow, Mecklenburg County.

signed:
Lenaig Von Güstrow
Chief of House Von Güstrow,
Duchess of Pomerania
and Countess of Mecklenburg

July 1204


For ages has the house of Hof governed Franken, only to eventually control the Duchy of Meißen and Schwaben.
Ever since the liquidation of the Government of Stuttgart, and the failure of French forces to assert dominance in the region
followed by the defeat and withdrawal of French influence in the south-west, the future of a successful Germany had been guaranteed.


We believe it is thanks to the openness of our country and leadership, that Germany could become what it is now.
This needs to be ensured for the future. This democracy which despite the flaws every democracy has,
has always been successful and can be proud of a glorious past. And as such, Germany should remain the democracy it has been for centuries.

A crown would undermine this very idea. Hence why the House of Hof has so far opposed its very concept.

However, recent evolutions have made the family of Hof change their minds. The appointment of a king should be top priority.
As the ruler of nearly one third of the territory of our current federation, as well as a front runner in politics and military,
the House of Hof considers itself in a position where it should propose itself for being the family to supply a lord fitting to be called
the first king of Germany. One which will keep up the traditions of trying to leave as much say to the members of the kingdom,
as the members of the old federation had. A winning formula should not be altered.



The Family of Hof hereby proclaims itself candidate for the crown and throne of Germany.



-Family of Hof, rulers of Meißen, Schwaben, and Franken.

Dewi de Viborg veillait à la bonne marche des affaires dans son domaine de Paderborn, qu'il tenait de son père, Tujen de Paderborn. Curieusement c'est sa mère qui lui avait laissé son nom, mais cette curiosité s'éteindrait avec lui, ses propres enfants étaient tous des Paderborn.
Son souci pour le moment était de tenter de réunir le duché de Saxe, il en était tout proche, et si la dams de Greifswald ne s'y opposait pas, ce pourrait être fait bientôt.
Il était en train de rédiger une proposition de traité en ce sens quand il reçut l'invitation de von Güstrow.
Un bon monarque pour la Germanie, oui, c'était important, qui accepterait de s'y coller ? Hof ? Namur ? un autre ?
Il fit une très brève réponse :

J'arrive !
D. de V.

La réponse des plus familière du Comte de Saxe Occidentale, laissa tout d'abord Lenaig pensive... puis elle sourit. Au moins un d'entre eux avait répondu.

La duchesse avait reçu quelques semaines auparavant une missive la conviant à une sorte de concile entre les ducs germains visant à élire un duc, ou au moins à faire avancer les discussions.
. Les récents événements Danois avaient réclamé son attention, expliquant son arrivée tardive et avaient modifié l'équilibre géopolitique en Germanie et au Danemark, influant sur ses propres intérêts. Ainsi après avoir réglé ses affaires nordiques, la duchesse, tout juste arrivée, n'avait encore qu'une vague idée de la position qu'elle allait défendre.

5 janvier 1204,

Plus de cinq années s'étaient écoulés, et aucuns parmi les Ducs ne s'étaient déclarer comme candidat à la royauté. Cette royauté était pourtant nécessaire et il fallait que quelqu'un se décide à se présenter comme candidat. Prenant tout son courage, Lenaig décida qu'il était temps, temps pour la Germanie d'avoir un Roi, un souverain qui saurait la mener vers un âge d'or.

Certes l'âge de Lenaig l'empêcherait de régner efficacement, mais son fils Konan et son petit-fils Getenok, avaient eux la force de diriger la famille et peut-être même le Royaume. Aussi, elle décida l'après-midi de faire un discours aux quelques émissaires ducaux présent pour le concile, seuls les Ducs de Saxe et de Schwyz ayant montré leur intention de participer au concile mais l'un était pour l'heure en ses états, tandis que les Greifswald étaient venus avec une vaste délégation avec à sa tête la Duchesse Maé Von Greifswald.

Ainsi, vers le milieu de l'après-midi(le temps que les émissaires ducaux soient réunis), Lenaig débuta son discours:

Cher envoyés des Ducs, comme vous et vos maîtres le savez, ce concile a été débuté afin de délibérer et choisir un Roi pour la Germanie. Or, aucun d'entre vous ne semble se proposer en tant que candidat à la royauté. Cinq années ce sont écoulés, certains royaumes se sont formés, et nous germains ne savons pas qui sera déclarer notre Roi et donc nous n'avons pas encore créer notre royaume.

Aussi, moi, Lenaig Von Güstrow me propose comme candidate à la royauté et si mes forces venaient à péricliter, je propose la candidature de mon éventuel successeur lorsque le Royaume sera finalement constitué.

Sachez aussi que selon moi, un Roi ne devrait pas être choisi pour sa fortune ou l'étendu de ses terres. Ce qui fait un Roi, c'est le fait de gouverner justement et équitablement, d'avoir les capacités suffisantes pour cela, de bien traiter ses vassaux, et de coopérer avec eux. Un Roi sans vassaux, un Roi en rivalité avec ses vassaux, un Roi qui maltraite ses vassaux, ne mérite pas le titre de Roi et ne mérite pas son Royaume.

Je propose aussi que la Germanie sera une entité ayant pour objectifs, les objectifs de ses membres et pourra être plus considérer comme une confédération ou une grande alliance germanique, que comme un Royaume. La Germanie sera donc un Royaume, mais son Roi sera élu parmi les Grandes Maisons de la noblesse germanique. Un Conseil d'état sera également tenus à intervalles réguliers dont la durée de ces intervalles seront proposés aux membres de ce Conseil. Les Von Güstrow si ils sont élus, s'engagent également à respecter les droits de tout les membres du Royaume, qu'ils soient grands ou petits.

Enfin, si un Von Gustrow est sur le trône, il s'engagera à toujours prendre en compte les intérêts de chaque membre du Royaume pour toutes décisions diplomatique ou de justice.

Si dans cette salle, il se trouve des personnes contestant cette candidature ou voulant proposer un autre candidat, qu'ils le disent maintenant ou, n'ayant pas d'adversaires, les Von Güstrow seront proclamés futur souverains de Germanie directement.

PS: 48h seront laissés à partir de maintenant pour que d'autres candidatures se fassent, si il n'y en a pas d'autres, j'enverrai les traités de vassalisation à chaque membre du Royaume. Également, si certains seigneurs germains ne souhaitent pas faire partie du royaume de Germanie, qu'il le dise maintenant ou il sera considérer comme acceptant de vouloir faire partie du Royaume.


January 5, 1204,

More than five years had passed, and no one of the Dukes declare as candidates for kingship. This kingdom was however necessary and someone will had to decide to stand as a candidate. Taking his courage, Lenaig decided it was time, time for Germany to have a king, a ruler who can carry it to a golden age.

Howewer, the age of Lenaig prevent her to reign effectively, but her son Konan and her grandson Getenok had the strength to lead the family and maybe even the Kingdom. So, she decided the afternoon to making a speech for the ducals emissaries present for the council, only the Dukes of Saxony and Schwyz had shown their intention to participate in the council but one was for the time in his statements while the Greifswald came with a large delegation headed by the Duchess Maé Von Greifswald.

Thus, by mid-afternoon (the time the ducal emissaries are met) Lenaig began his speech:

Dear emissaries of the Dukes, as you and your masters know, this council was started to deliberate and choose a king for Germany. However, none of you seem to propose as a candidate for kingship. Five years have passed, some kingdoms were formed, and we Germans do not know who will be our King and we do not have create our kingdom.

Also, I, Lenaig Von Güstrow offers me as a candidate for kingship and if my strength had to decline, I nominate my eventual successor for the crown when the kingdom will be finally established.

Also, note that in my opinion, a King should not be chosen for its wealth or the extent of his land. What makes a king, is the fact that he govern justly and fairly, to have sufficient capacity for this, goodness to his vassals, and cooperate with them. A king without vassals, a king in rivalry with his vassals, a King who mistreats his vassals, does not deserve the title of King and do not deserve his Kingdom.

I also suggest that Germany will be an entity with goals, objectives of its members and may be more considered as a great Germanic confederation or alliance than as a kingdom. Germany will be a kingdom, but the king will be elected among the Great Houses of the German nobility. A Council of State will also be held at regular intervals, intervals that the duration will be proposed to the members of the Council. If the Von Güstrow are elected, they will respect the rights of all members of the Kingdom, whether large or small.

Finally, if a Von Gustrow is on the throne, he will commit to always take into account the interests of each member of the Kingdom for all diplomatic or justice decisions.

If in this room, if their is people wanting to offer their candidate, they have to do it now or, because of not having opponents, the Von Güstrow will be announced future rulers of Germany directly.

PS: 48h will be left from here for other candidates to do, if there is no other, I will send the treaties of vassalage to each member of the Kingdom. Also, if some germans lords do not want to be part of the kingdom of Germany, they have to says it now or it will be considered as accepting of wanting to be part of the Kingdom.

February 18, 1205,

I, Arzhur of Namur of The House Namur-de-Hollande, Duke of Lower-Lotharingia, have after several a great many councils with my most trusted subjects, come to the conclusion that the Lord of The Family of Hof is most fit to be Crowned King of Germany. Therefore, our support goes to them.

I think that, between the lords who run for the crown, Lord Hof is the one who has shown the more abilities to govern a kingdom. He has commanded succesfully our armies during the French war and is respected by all the German lords. I vote for him.

I, Tujen de Namur, Duc de Hollande et Haute-Lotharingie, in memory of my grandfather, Gradlon de Namur, cannot and will not support the family de Hof in their claim for the crown and throne of the Kingdom of Germany at this present time. Neither will I support the family Von Güstrow or lay claim to the crown for myself. I recluse myself.

So, the lords of Greifswald and of Namur-de Hollande support the Lord Hof. Will you, Duchess Hof of Misnia and Franconia, declare yourself as candidate to the crown ? If you agree with that, I will vote for you and not for myself. But if not...

July 1204
[...]


The Family of Hof hereby proclaims itself candidate for the crown and throne of Germany.



-Family of Hof, rulers of Meißen, Schwaben, and Franken.

Nevenoe sortit de la salle où il venait de s'entretenir avec son père. Le sujet de la discussion du jour avait été l'attitude à adopter face au futur Royaume de Germanie. Sans surprise, le vieux Gurvan s'était prononcé pour une intégration des Vac d'Ortenburg au Royaume, et Nevenoe avait à peine essayé de le faire changer d'avis. Il avait toujours considéré son père, qui restait officiellement à la tête de la famille, comme un dirigeant médiocre, trop enclin à s'agenouiller et manquant grandement d'ambitions. Gurvan s'était toujours contenté d'un petit titre de Vicomte bavarois et n'avait jamais émis le moindre désir de conquête. Nevenoe lui était en tous points opposé. Avant même son vingtième anniversaire, il avait projeté d'écarter progressivement son père du pouvoir. Il avait commencé par le pousser à recruter des mercenaires pour agrandir le territoire familial, puis l'avait convaincu de lui transmettre l'autorité sur les cinq seigneuries de la maison. Ainsi, le fils avait peu à peu privé le père de tout pouvoir sur les siens, jusqu'à le réduire au rôle de simple figure symbolique.

Et une fois de plus, Nevenoe ne comptait pas écouter l'avis de son père. Il éprouvait même un certain plaisir à agir contre les volontés de ce dernier. Les Vac d'Ortenburg devaient rester indépendants, et cette élection chaotique, dépourvue du moindre débat, l'avait conforté dans son opinion. Il lui fallait dorénavant convaincre les Germains de lui accorder une indépendance vis à vis de la couronne. Il avait déjà recueilli un premier accord, mais seul celui du roi pouvait le satisfaire. Et ce roi, ce serait Hof. Nevenoe se rendit donc là où les grandes maisons germaines s'étaient rassemblées, et prit la parole.

Chers ducs de Germanie, je suis Nevenoe de Vac d'Ortenburg, Vicomte d'Augsburg et de Burghausen, et futur dirigeant de notre maison. Après avoir observé avec intérêt le déroulement de l'élection du roi de Germanie, et après de mûres réflexions, je demande, au nom de tous les Vac d'Ortenburg, au futur souverain de Germanie d'accorder à notre maison une indépendance totale vis à vis du Royaume en cours de formation.

Les terres des Vac d'Ortenburg étant situées à la frontière entre territoires germains et territoires du royaume de Bohême-Moravie, une indépendance de cette région ne constituerait pas une flagrante incohérence géographique, et ne saurait gêner les mouvements germains en Germanie. Cette indépendance ne constituerait pas non plus une incohérence historique, les seigneuries concernées n'appartenant pas aux grands seigneurs germains depuis de nombreuses générations maintenant.

Je reste à disposition de la couronne germaine pour toute discussion des termes de l'indépendance et tiens à assurer toute ma sympathie au naissant royaume de Germanie.

Plutôt court et direct, Nevenoe n'avait pas trop voulu dénoter.

PS: 48h seront laissés à partir de maintenant pour que d'autres candidatures se fassent, si il n'y en a pas d'autres, j'enverrai les traités de vassalisation à chaque membre du Royaume. Également, si certains seigneurs germains ne souhaitent pas faire partie du royaume de Germanie, qu'il le dise maintenant ou il sera considérer comme acceptant de vouloir faire partie du Royaume.

Rien que pour ce genre d'ultimatum réitéré par courrier, je ne soutiendrai absolument pas cette candidature. Et le premier traité de vassalisation que je reçois de sa part se concluera par une guerre.

La constitution des grands fiefs, la guerre contre la France, pendant que ça mobilisait tout le monde, lui il ronflait en faisant du gras chez lui peinard bien au chaud.


Le seul souverain possible, capable, et légitime par rapport ce qu'il a fait jusqu'à aujourd'hui en Germanie comme au delà, c'est Hof. Ma famille sait ce qu'elle lui doit. Je soutiens sa candidature.pour être Roi de Germanie

[HRP]
Bon histoire de mettre les choses au clair, la raison pour laquelle je n'ai pas participer à la guerre contre la France, ce n'est pas que je ne voulais pas, mais c'est surtout que je ne pouvais pas. Manque de chance, la guerre contre la France s'est déclarer peu de temps avant le Bac, alors que je révisais. Elle a aussi continuer peu après le Bac mais quasiment tout avait déjà été fait et que j'envoie que 400 soldats n'aurait rien changer. Donc voit-tu, au lieu de dormir et de manger tranquillement devant un feu, je travaillais pour passer le Bac, alors ne va pas me prendre de haut comme ça. J'y pouvais rien alors désolé de te dire ça mais quand je poste un message et qu'il faut attendre 5-6 jour pour avoir une réponse(et encore, c'est seulement maintenant qu'il le font), oui je poste un ultimatum, histoire de réveiller les foules !

La famille de Vac avait une réputation à tenir. Phares de la civilisation hongroise, ils se montraient bien évidemment grossiers et désagréables avec les barbares occidentaux. En arrivant à Rostock, gênés par l'odeur persistante de poisson et de sel marin, la troupe des chevaliers qui accompagnaient la suzeraine en titre, sa grandeur Mazheva de Vac - protectrice des faibles, vierge à la pureté immaculé, unificatrice du royaume de hongrie - et bâtisseuse inlassable - parlèrent ostensiblement de la crasse du peuple marin qui hantaient les lieux. Leurs lourdes armures découragèrent toute velléité de contestation.

Aux portes de la misérable bourgade qui accueillait cette sinistre farce, c'est avec le plat de leurs armes - heureusement non sorties de leur fourreau - qu'ils écartèrent les gardes et beuglant les revendications germaines de leur maîtresse. Arrivés aux tas de moellons branlants faisant office de palais, ils pénétrèrent sans égards dans la grande salle, malgré les interdictions impuissantes des gens d'armes.

Le doyen de la troupe, un valeureux combattant vétéran de la guerre croate aux favoris ébouriffés, se décasqua et beugla.

Sa grandeur Mazheva de Vac, duchesse de Cartinthie !

Et pour accompagner ce nom si élégant en bouche, tous ses compagnons cognèrent de leur poing ganté sur leur haubert.

Le récent duc de Saxe avait contracté une fièvre qui le contraignait à garder la chambre, il ne pourrait pas en sortir avant un moment, il n'était même pas certain d'en sortir un jour, sa fille prendrait sans doute la suite, si cette maladie devait durer encore dix ans.
Il envoya un émissaire dire qu'il ne voyait pas d'autre maison que Hof pour assumer la lourde responsabilité de la royauté en Germanie, et prit ses dispositions pour que la duchesse de Schwaben puisse devenir sa suzeraine.

edit : 10 jours irl .... ça fera 10 ans pour Dewi ! modification premier § en conséquence

Edited by test33.pr, 04 August 2014 - 12:14 PM.

Alors que la plupart des ducs donnaient leurs votes, d'étranges personnages arrivèrent aux portes de Rostock. Les Hongrois. Non seulement ceux-ci osaient, en un pays qui n'étaient pas le leur, mépriser ceux qu'ils rencontraient, mais en plus ces orientaux osaient proclamer la candidature de leur chef en tant que Reine de Germanie. Lenaig envoya donc des gardes, mener par quelques uns de ces petit-fils, afin de reconduire les intrus hors de ses terres.

Holà, messeigneurs hongrois, ces terres sont fiefs germains, veuillez retourner en vos terres sur-le-champ ! Ce concile est pour les seigneurs germains, non pas pour les seigneurs de Germanie, que vous possédiez le Duché de Carinthie n'y change rien.

Parmi la foule qui s'était amasser autour du cortège, de nombreux habitants de la ville commençaient à insulter les hongrois, heureusement les gardes de Güstrow les tenaient en respect.

Jamais, un hongrois ou autre nobles non-germains, ne se verra accorder la couronne de Germanie ! Retourner d’où vous venez et restez-y !

Jusque là, la duchesse de Cartinthie était restée dans sa carriole monoplace. Son écuyer lui traduisit respectueusement la réaction des seigneurs locaux, ce qui la fit éclater de rire. Ecartant le voile qui la dissimulait au reste de l'assemblée, elle se releva et sortit. A presque 80 ans, donc plus de soixante passés à régner, elle irradiait la majesté et la sagesse. N'était sa couronne finement ciselée d'or, son air grave, ses traits altiers et ses gestes plein d'autorité auraient rappelé à tous qu'elle avait participé à de nombreuses guerres, édifié moultes cités, aidé son peuple à croître et la richesse de tous à se développer. Elle était l'unificatrice, la vierge immaculé, la bâtisseuse, mais aussi la vindicative.

Was passiert hier ? Ich verstehe nicht ihre Reaktion Frau Herzog von Guestrow ! Warum wäre ich nicht eine echte deutsche Adlige ? Ich bin die legitime Herzogin von Cartinthie, und ich habe mit mir mein Hofhalten mitgebracht. Wir wollen an dieser Wahl teinhehemn, weil wie daran das Recht haben. Die echte wichtige Frage ist zu wissen, warum sie nicht der ganze deutschen Adel eingeladen haben ? Wir aus Süd-Deutschland sind so deutsch als Sie, und vieilleich auch mehr !

Pendant quelques instants, elle reprit son souffle en regardant la foule assemblée autour.

Diese Wahl ist nicht gültig, wenn die ganze Kurfürsten nicht anwesend sind. Und sie waren nicht alle da. Aber ich verstehe Sie. Sie haben Angst um ihre Macht, und Sie sind richtig. Es ist schwierig mit echte deutsche Herren als uns zu konkurrieren. Wir sprechen deutsch, wie kennen das Volk, wir haben die selbe Gewohnheiten als die Leute, wir trinken Bier und kein Wein, wir essen Gemüse und keine Fleisch, wir wohnen lieber Faschinge und Possenspiele eher als Theaterstücke und langweilige Harfekonzerte. Wir sind das deutsche Volk, Sie sind die fremde Einwanderer ! Und wir wissen vor allem das ihre Bevölkerumg arm und traurig ist.

Wir bringen Reichtum

Les écuyers sortirent des coffres des fontes des montures de bât et se mirent à jeter des pièces d'or vers le bas peuple.

Wir bringen Freude

De la délégation autrichienne sortirent des ménestrels, des saltimbanques et autres spécialistes du divertissement populaire.

Und wir bringen Aufmunterung !

Se décalant sur le côté, la vieille femme s'inclina tandis que s'avançait un nouveau prétendant au trône de Germanie, Envel de Székesféhervar, Comte d'Autriche, prophète du Z.

Das heilige Wort des Z mit Sie ist !

(dernier post édité)