À tout les seigneurs français
À tout ceux qui lirons ou ce ferons lire,
Greetings,
Maintenant cinq ans que les sièges s’accumulent, que les combats ne cessent, que des soldats tombent et que des femmes et enfants deviennent veuves et orphelins.
Cinq à progresser plus que nous l’aurions cru, en cette vaste terre qu’est la France.
Cinq ans à attendre que l’homme qui se proclamait futur Roi, ne dédaigne venir nous parler pour faire cesser ses batailles, trouver une entente.
Ce faisant, nous considérons que la maison de Fécamp n’a plus aucune légitimité pour revendiquer la couronne de France et invitons les nobles français à trouver un successeur digne de ce nom. Réclamons que les maisons liées par lien de suzeraineté ou de vassalité à la Duchesse d’ Artois brisent leurs liens.
En réaction à l’attaque traitresse de la part des Maisons de d'Aix-la-Chapelle et de Lille, nous informons que ce dernier devra se rendre en tant que vassal du duché de Flandres, vassal du roi d'Angleterre, ou bien ferons tout pour qu’il ne soit plus une gêne concernant pour l’Angleterre.
Faisant suite à une demande d’une maison à ce que la guerre ne s’éternise pas, nous demandons, au nom de l’Angleterre et de ses vassaux :
- 1 000 000 livres sur 10 ans
- Un Duc de Normandie anglais, qui fera néanmoins allégeance à la couronne française
- Les Seigneuries de : Barfleur, Coustance Avranches et Falaise, sises en Normandie
- La séparation du Duché de Flandres de la Couronne de France
- Que le Duché de Flandres devient territoire anglais et vassal de la couronne d’Angleterre
- Les seigneuries Calais, Boulogne et Montreuil en Flandres
- Un mariage royal entre les deux maisons royales, Reading et celle future de France.
- La non prétention royale de la maison de Fécamp
- Pour sa reddition rapide, le Comté de Rouen à la maison de Rouen
- La paix entre l’Angleterre et la France et une aide soutenue dans les guerres, civiles ou non, dans les deux sens.
- Une entraide commune entre les deux maisons royale et une communication ne lésant aucun des parties
- Une entente de non agression pour les trente prochaines années
Pour les seigneurs d’Allemagne et du Danemark :
- L’abandon par les seigneurs français de tout territoire au sein du royaume de Germanie. Ainsi, les seigneurs d’Aix-la-Chapelle, Bruges et Valenciennes perdent l’ensemble de leurs villes actuelles, y compris Anvers (seule revendication germanique sur le territoire français). De même, le seigneur de Melun perd Barr, et le seigneur de Nancy perd Nancy.
- La maison d’Aix-la-chapelle devra de virer ses troupes actuellement sur Anvers.
- Le seigneur Aix-la-Chapelle se verra céder deux seigneuries par le seigneur d’Hazebrouck, le choix de celles-ci restant à déterminer entre ces deux maisons.
- Les seigneurs Valenciennes et Bruges seront accueillis par le seigneur Toro en Espagne et en Provence et y trouveront de bonnes terres.
- Les seigneurs de France s’engagent à céder une seigneurie quelconque au seigneur de Melun, si cela est nécessaire pour lui faire accepter de perdre Barr (nous récompensons ainsi sa reddition rapide).
- Les maisons de Luxembourg et de Monthois deviennent vassales du seigneur Hof.
- La France versera aux seigneurs allemands la somme de 700 000 livres.
- L’ensemble des seigneurs français s’engage à ne jamais s’emparer d’une ville allemande, même en cas d’inactivité de son possesseur légitime.
Enfin, pour assurer l’équilibre des forces en Europe de l’Ouest, nous demandons à ce que les seigneurs de Bourgogne puissent choisir librement d’être ou non vassaux de seigneurs français. S’ils en décident ainsi, l’influence française en Bourgogne devra ainsi cesser, et le roi de Bourgogne devra être bourguignon.
Il est également important de notifier que, une fois que les conditions de redditions auront été convenues, nous devrons attendre, pour signer la paix effective, un accord entre les royaumes d’Espagne et de Deux-Siciles, car la paix en Europe de l’Ouest doit être totale.
Si ces revendications sont acceptées et signées, nous nous engageons à rendre les seigneuries prises, sauf celles susmentionnés et à ne pas attaquer les seigneuries participant à la paix ou voulant rester neutre, à la condition que des droits de passages soient accordés, au besoin. Il va s’en dire que le retour des troupes anglaises en leur territoire se devra d’être fait sans encoches, au risque de causer une causus belli.
Pour l’Angleterre,
Jestin de Reading, Roi d’Angleterre
Pour l’Allemagne-Danemark,
Mazheva de Hof, comtesse de Nuremberg
[HRP : Pour les détails purement IG, notamment concernant le Duché des Flandres, il serait préférables d'en parler entre joueurs, pour ne pas gâcher le côté RP des revendications. Merci.]