(HRP: Merci de vous intérêsser au Rp et de faire vos retours critiques même désagréable à lire pour mon égos . Si le récit ne semble pas vous convenir dans la forme ou dans les tournures.
Merci de respecter aussi le temps investit mais aussi, l'effort fait pour rendre la situation Rp IG. Toutes réponses HRP commentant les différents sujets seront concidérés pour ma part comme étant Role plays et donc demandant une réponse Role plays en adéquation avec les mots employés
Merci encore.)
Quelque part dans le Duché d'Est Anglie.
An de Grâce 1124
Dans un châteaux froid et humide de la Seigneurie d'Ely, un calme troublant semble régner. Dehors la pluie tombe sans discontinuer depuis plusieurs jours. Le vent qui l'accompagne et froid, transperçant. Il glace les os. L'humidité ambiante rend poisseux tout ce qu'on touche.
Sur les chemins boueux un groupe de cavaliers bravent le mauvais temps à brides abattues. Ils entrent enfin dans la cour du Château et démontent ruisselant et affamés.
Ces hommes n'ont aucuns blasons, aucunes armoiries. Ils se restaurent rapidement sans dire mot. Ils semblent être familiers de la maison d'Ely. Une fois changé, ils montent jusqu'à la salle d'audience que le Duc a fait préparer juste avant qu'ils arrivent.
Tout semble organisé. Une concentration particulière règne dans chaque pièce du château. Pendant ce temps dans la cour du château d'autres cavaliers arrivent encore.
Les individus traversent les pièces une à une du château, leur pas raisonnent. Chacun tient une missive cachetée mais sans sceau.
Les gardes, à l'entrée de la Salle de réception, ouvrent deux énormes portes en chêne massif. Les charnières grinces raisonnant jusque dans les couloirs adjacent.
Sont présent, regardant entrer les trois obligés, Le Duc d'Est Anglie, Avel d'Ely, ces vassaux les plus loyaux et quelques sympathisants.
Le Duc a troqué ses vêtements de cour soyeux et délicats pour une armure de plate lustrée et ajustée. Tout les autres invités sont vêtus de mailles et arbores leurs couleurs. Sur une immense table en pins, est déployée une carte. Des pions ça et là sont posés. Les messagers remettent leur missives et sortent immédiatement. Ils s'assoient dans le couloir alors que d'autres arrivent. Au total une dizaines d'hommes attendent maintenant devant les portes closent de la Salle du conseil.
Une ambiance tendue et studieuse règne. Les différents membres de l’état majors sont en train d'échanger. Les pions bougent, les discussions s'animent. Après un moment le Duc ouvre le tas de missives et les décortiques une à une. Il en jette une partie mais en dispose trois devant lui. Il a une petit bâton dans les mains. Il tapote pour avoir le silence.
"Messieurs, nos soupçons étaient confirmés." Dit il grave.
"Nous pensions que les évènements en France résultaient d'une volonté de prise de pouvoir par les armes. Seulement l'on été bien loin de s'imaginer ceci." Regarde les hommes un à un, tous se renvoient des regards inquiets interrogatif. Le duc poursuit sa démonstration.
"La guerre en france est une moyen de prendre le pouvoir en Angleterre au nez à et la Barde de trois Ducs!" s'écrit il. "L'on nous prend pour des idiots à croire que nous allons rester là les bras croisé!" s'emporte-t-il d'avantage.
"Nous devons absolument rallier les duchés de Mercie, de Galle et tout les seigneurs possibles pour que ce plan n'arrive jamais à terme." Dit il le ton engagé.
L'un des commandant lève la main et demande.
"Mon seigneur, nous prenons le risque de partir seul en guerre si les autres Ducs et Seigneurs ne croient pas en notre découverte."
Tel un Lion, le Duc d'Est Anglie rugit:
"Et bien nous irons seul! Nous perdrons tout et nous seront ruinés si il le faut! Mais, jamais je ne courberais l'échine ou me rabaisserait aux vilénies d'un Duc qui n'a de cesse d’œuvrer que pour voir tomber ces adversaires et récupérer leur biens! Je préfère tomber au champ d'honneur libre et convaincu de la cause plutôt que de laisser sombrer mon Royaume!" Déclare t il.
Un autre commandant enchaine. "Seigneur, nous vous suivrons jusque dans les enfers."
Le plus anciens de l'Etat major dit alors:
"A quoi devons nous faire fasse quel est le plan de l’ennemie et surtout qui est il?"
Le duc s'assoit et regarde la carte puis dit:
" Le plan est simple, Le Duc de Wessex est partie en guerre contre la France, sans l'avis du conseil. Il a déclaré ceci:
Moi, Astory de Wessex, déclare la guerre au Duché de Flandre au nom du Duché de Wessex. La Royaume de l'Angleterre n'est pas commanditaire de conflit. Tous diplomate sera accueilli comme il se doit avec respect, et nous nous engageons à respecté l'art de la guerre.
Certains de l'état major fulminent d'autres s'énervent.
"Allons du calme." Demande le Duc.
" Cette annonce peu maline montre clairement que le plan: La guerre en France sera un échec. C'est déjà négocié à l'avance. Mes espions ont bien travaillés. La guerre perdu le Duc perdra son duché Anglais au profit de Seigneur Français. Ce qui devrait provoquer les foudres du Duc de Galle et du Duc de Mercie. Provocant une guerre en vue de nous affaiblir. Ceci laisserait au Français et au Duc de Wessex déchut une porte d'entrée grande ouverte pour récupérer, grâce aux Français. Le Duc de Galle et de Mercie doivent nous faire confiance! Sinon c'est le royaume et sa couronne que la famille Powys perdra. Les Français viendront en Angleterre pour nous narguer! Et nous serons tenté d'agir au coté de Wessex. Mais nous ne le ferons pas!" Le Duc s'interrompt.
Au même moment d'autres missives arrivent. Le Duc ouvre et observe un moment de silence.
"Les français semblent avoir plus de ressources qu'il n'y parait. Le Duc de Wessex A fait halte à Porthmouth pour mener le siège contre les séditieux qui tiennent la ville depuis plusieurs années. " Le duc bougonne puis reprend.
"Voilà la preuve qu'il profite de son soit disant périple en France pour récupérer des terres au passages!"
Un des membres de l'Etat major prend la parole.
"Cela ne change rien. Si le Duc est capable de tels plans pour récupérer la couronne il faut lui faire comprendre que nul ne pourra comploter impunément."
Le Duc acquiesce et dit:
"Faites quérir les Vassaux, passé les missives aux sympathisants et qu'ils soient tous réunit dans grande cour d'ici à deux jours. Je veux que le Duc de Mercie et de Powys convoquent et lèvent leur banneret sans délais. Ils doivent réagir !"
Deux jour plus tard.
Sous un ciel voilé et une atmosphère pesante, Avel d'Ely s'adresse alors, depuis un balcon du Donjon, aux seigneurs d'Angleterre. Il a revêtu son amure de plate que le soleil fait luire.
"Seigneur d'Angleterre! Vous qui bâtissez en se moment même le royaume, vous qui en êtes les artisans fervent et loyaux, vous êtes en train de vous faire poignarder dans le dos!
Le Duché de Wessex est entré en guerre contre la Flandre. Il n'a pas requis l'aval du Conseil des Ducs encore moins prévenue de son acte isolé et lourd de conséquences. Les relations avec nos voisins français sont catastrophiques, des barges de cadavres sont renvoyés vers nos côtes tandis que les français se gargarisent de leur victoires.
Tout cela du à la prétention d'un Duc sur la couronne d'Angleterre, encore et toujours. Il s'est offusqué de mon envie d'être Roi mais aujourd'hui ce n'est pas ce qui m'importe. Aujourd'hui je me lève contre la traitrise!"
Les seigneurs se regardent, inquiet mais aussi, attentif, certains ne comprennent pas.
" Certains d'entre vous doivent croire qu'en France une guerre de Puissant à lieu. Hélas vous vous trompez, cette guerre était un échec souhaitait par le Duc de Wessex qui a signé des accords. Le but étant de faire échouer la création du Royaume d'Angleterre en cédant des possessions de son Duché. Certains de mes espions ont même ramené le fait qu'il avait pour projet par la suite de revenir en Angleterre et prendre la couronne. Dans son esprit nous ne sommes pas unis! Dans son esprit le Duché d'Est Anglie convoite la couronne. Il n'en est rien!
Si vous êtes réunit en ce jour, c'est pour sauver le Royaume d'Angleterre et poser enfin la couronne sur la tête du Duc de Galle seul véritable diplomate éclairé et bon de ce royaume!"
Des sourires se font jours sur les visages des seigneurs. Les promesses de l'unité sont si proche. Celle tant attendue. Alors le Duc d'Est Anglie rugit!
"Seigneur du Nord, du Sud, Vicomte, Comte, êtes vous prêt à sauver votre Royaume. Levez vous contre le traitre! Opposez vous à la déchéance de votre royaume! Prenez enfin en main la direction de l'Angleterre! Si votre réponse est oui sans condition alors faites raisonner les tambours de la guerre. Portez un coup fatal au traitre!
Pour le Roi! Pour l'Angleterre! Car Dieu est notre droit" scande t il a pleine voix.
Les seigneurs semblent acquiescer les dires...
Quel sera la réponse des Seigneurs! Quel sera la réponse de l'Angleterre...?