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[RP] Petite-Pologne, de la sueur, du sang, mais pas de larmes.


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#1 Gaerk

Gaerk

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Posted 19 November 2014 - 05:56 PM

"Ce Rp se situera en Pologne, sur la droite de la carte, et sera suivit par les étapes importantes du Duc de Petite-Pologne, peut-être de quelques autres Ducs polonais, ainsi qu'agrémenter de quelques anecdotes sur les avncées du Royaume de Pologne. Les noms de personnage dans se RP seront pour certains réel, et pour d'autre inventé."

 

Début 1114 :

 

Peran était heureux, cette homme de 79 ans, robuste pour son âge, les cheveux et la barbe grisé par les étés passés, était assis sur son trône. Devant lui, ses vassaux ainsi que ses général de guerre était agenouillé, et à sa droite, se trouvait son fils héritier, Tangi.

 

En l'an 1113, ce viel homme était devenu le Duc de Petite-Pologne, un titre envié, enfin atteint. Il regarda à sa droite, heureux de léguer à son fils cet héritage, comme cela, il s'assure de la suite de sa lignée, autant au niveau militaire, que prestigieux. Il reporta ensuite son attention sur la salle. Il se leva alors, et dit d'une voix forte :

 

- Bonjour à tous, merci de m'avoir rejoint aujourd'hui. Certaines seigneuries n'ont pas répondu a l'appel, et seront donc conquises et leurs dirigeant décapité.

- Mais Sire, s'exclama le seigneur de Tychy, cela ne serait-il pas disproportionné ?

- Ils n'ont pas répondu à nos missives, n'ont pas accepté notre vassalisation. Je ne me risquerais pas à laisser de potentiel ennemi entre nos lignes.

 

S'ensuivit ensuite un long discours, sur l'honneur et les devoirs des vassaux, et de celui du suzerain.

 

Enfin, Peran arriva au moment le plus important, une missive du Roi était arrivé quelques jours auparavant, ce qui était d'ailleurs la raison de la présence de tout se beau monde.

 

Le Roi convie ses vassaux, ainsi que les généraux les plus importants du Royaume, à un banquet, dans trois semaines, se qui nous permettra d'assiéger Malogosczck.

 

Il leva son verre, et s'écria :

 

- Pour la Pologne !

 

Et tous reprirent se slogan en coeur.



#2 Gaerk

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Posted 19 November 2014 - 07:14 PM

Septembre 1114 :

 

Peran regardait la ville de Malogosczck, un hameau, qui n'avait pas répondu à sa demande de vassalisation, et qui était maintenant assiégée. Il voyait d'ici les mouvements de troupes en face. Désorganisé, et faiblement armé, ils n'avaient aucune chance face à ses troupes armées.

 

Ils marchaient sur cette ville depuis l'aube, et étaient heureux de pouvoir enfin attaqué.

 

Il leva son épée, regarda ses troupes et chargea, en beuglant "Pour Petite-Pologne", repris en chœur par une très grosse partis de ses soldats. Quelques secondes après, son armée éventra la ligne de défense adverse.

 

Ses hommes, armés d'épée et de petits boucliers, étaient entré sans aucune résistance dans cette amas de paysans armés.

 

Il vit son général esquiver le coup de fourche d'un soldat ennemis, se retourner, et enfoncer son épée dans l’œil droit du soldat. Avant que celui-ci ne tombe à terre, Guillaume - de son nom - attrapa la fourche, et planta un soldat avec d'une tel force, que cela le traversa de part en part. Jenan, qui depuis lors n'avait combattu personne, se repris en main, et avança. Il se retrouva face à trois ennemis, qui venais d'abattre deux de ses hommes, l'un, à coup faux, et l'autre à coup de marteaux. Le troisième homme étaient armé d'un petit poignard.

Les trois hommes chargèrent en-même temps. Le premier à arriver à sa hauteur fût le plus malchanceux, celui-ci n'eu même pas le temps de lever sa faux, que l'épée du Duc venait se planter dans l'aine du soldat. Il se releva, tournoya, et abattit son bouclier sur la tête du second. Un craquement retentit, et l'homme s'écroula, peut-être assommé, probablement mort. Il regarda le dernier homme tenter de fuir, avec là quelque dizaine de ses compagnons. Jenan, leva une fois de plus son épée, et cria "Tirez".

 

Certains de ses hommes, une petite quarantaine, étaient aussi armé de lance de jet. Le Duc vit les javelots passé au-dessus de lui, et se planté dans le corps des fuyards. Aucun ne se releva.

 

La bataille fut très brèves, moins de quinze minutes après la charge, tout était terminé. 

 

Il alla vers Guillaume, qui félicitait ses soldats, et lui dit alors :

 

- On se voit demain matin à l'aube, dans ma tente. Je veux un rapport, nos pertes, les leurs, les vivres qu'il nous reste, et leurs réserves. Il se tourna alors vers ses hommes, et s'écria, se village est à vous aujourd'hui, tout est à vous, et si quelqu'un vous barre la route, planté lui l'épée à travers le gosier !

 

Les hommes se regardèrent, avec un sourire qui en disait long sur leurs intentions.

 

Autant vous dire que la nuit fût brève pour les soldats, douloureuses pour les femmes, et très rapide pour les maris.






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