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[RP] A vous peuples d’Ecosse, D’Angleterre et d’Irlande,


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#1 drashar

drashar

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Posted 29 September 2014 - 07:07 PM

Il y a peu de temps, le seigneur d’Ayr à fait appel à la duchesse de Connacht, ma vassale ainsi qu’à moi-même, pour protéger sa seigneurie de l’invasion sur ses terres du Duc des Lowlands. J’ai accepté que la Duchesse intervienne, pour ce qui devait être une guerre défensive, face à un Duc qui se déclarait ouvertement adorateur du feu démoniaque. Mais je constate que cette guerre se transforme en une guerre de conquête, ce qu’officiellement que je condamne.

A ce jour, le seigneur de Wigtown appelle le duc de Galles, vassal du Roi d’Angleterre, à venir l’aider et donc à attaquer ma vassale et celui là même que nous venions aider, le seigneur de Ayr.

A ce jour, le seigneur de Glascow me demande de lui venir en aide contre cette invasion, en échange de la restitution de la pierre de Tara, la «Lia fail », la pierre de la destiné, celle destinée à mon couronnement. En contrepartie, il souhaite que l’Ecosse puisse librement ce choisir un Roi, en toute indépendance.

A ce jour, les tribus et clans d’Irlande et du pays de Galles, mais aussi d’Ecosse, m’appelle, en tant que Ard Ri Erenn, Haut roi, à châtier les Ducs de Connacht et de Munsters, les accusant de félonie, et réclamant le « Glam Dicinn » le châtiment des Anciens Dieux, la déchéance ultime.

J’ai souhaité m’entretenir avec le roi d’Angleterre, nouvellement choisis par son peuple, et à qui je réitère içi officiellement une amitié et une loyauté sans faille, et mon impatience à œuvrer de manière conjointe dans un projet qui nous tient à cœur.

Nous avons convenu que nous ne souhaitions ni l’un ni l’autre voir nos vassaux se déchirer dans une guerre en Ecosse, pour leur profit personnel, mais au contraire laisser l’Ecosse se trouver un Souverain que nous accueillerons en égal à nos cotés.
Nous avons convenu d’un soutien mutuel pour ne laisser aucune volonté d’insurrection sur nos sols respectifs remettant en cause la légitimité de la couronne, ou d’autoriser nos vassaux à se combattre sur nos terres respectives.

Par conséquent qu’il soit entendu à ce jour que je demande le respect des décisions royales suivantes, pour suivis immédiat :

A mon vassal, le duc de Connaght, qu’il soit su que j’ai bien noté votre aptitude martiale, et vos qualités premières, force, honneur et Ambition. J’attends désormais de vous patience, modération et loyauté. J’estime à ce jour que la demande du seigneur Ayr à été plus que satisfaite, et qu’il part désormais avec nombres d’avantages pour ses propres ambitions, et rien ne vous interdit de le soutenir par des dons ou legs diverses. Mais vos armées doivent désormais se retirer, pour que l’Ecosse se choisissent son propre Roi par lui-même. Rappelez-vous du seigneur Wigtown et ce que vous m’aviez confié, vouloir être trop gourmant risque finalement souvent d’avoir l’effet inverse, ne laissez pas le seigneur Ayr perdre ce qu’il à gagné de votre fait. Je vous le garantis, il y a une place pour vous à mes cotés, si vous apprenez à percevoir les enjeux qui se jouent.Je demande évidement également au duc de Munster qu'il se retire.

Au seigneur D’Ayr, comprenez qu’en agissant ainsi, je ne vous retire pas mon soutien, mais offre à l’Ecosse la possibilité d’un Roi qui soit digne d’elle, et non pas un pays soumis par des forces étrangères qui n’aura de cesse de vouloir retrouver sa fierté par des intrigues incessantes, et je ne sais trops combien lassante.

Au seigneur de Glascow, je vous remercie de votre présent, vous garantie je ne tolérerais pas que nul seigneur Irlandais soit votre suzerain, ni vous, ni aucun autres seigneurs d’écosses, tant qu’un Roi n’aura pas été désigné par votre peuple.

Au Roi d’Angleterre, je vous suis grée d’avancer comme convenu vos 1550 hommes au bord de la frontière de l’Ecosse, et vous autorise à détruire les forces de mes vassaux et leur soutien en cas de désobéissance, ainsi qu’à rétablir un équilibre si celui-ci semblait être compromis. Vous avez mon entière confiance.

Au Duc de Galles, sachez mon ami que je reste sensible autant à votre loyauté à la couronne d’Angleterre qu’a votre respect des traditions anciennes, ciment indéfectible qui nous unis au-delà des titres et des terres. Vous êtes plus que tout autre, un lien entre nos nations, ce qui vous donne une place à part. Cette place, nous la forgerons.

Aux peuples, tribus et clans d’Irlande, j’entends vos appels et vos mises en gardes, j’écoute avec respects les vates qui m’annoncent la duplicité de certains de mes vassaux, et leur volonté de nuire à notre sol. Mais je pense que la bonté et l’honneur sont présentes au cœur de chacun, qu’il n’est guère besoin de leur sortir les entrailles pour l’y trouver, qu’au-delà des différents, ce qui nous unis reste plus fort que ce qui nous divise. Sachez que je ne rejette pas cependant votre sagesse, mais je suis le Gardien d’Etain, le garant de la paix, le protecteur de mes vassaux, et tant qu’ils respecteront leurs charges, fonctions et devoir, jamais je ne laisserais la moindre place au doute sur leur sincérité et leur loyauté. Par conséquent tout acte hostile à leurs égards basés sur de simples haruspices sera immédiatement sanctionné par moi sans clémence. Que cela soit su et entendu.




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