[RP] Château de Poitiers

La vallée à l'horizon, la rivière qui serpente aux abords de la ville, le peuple comme une fourmilière s'organise et se réveille dans l'aube levant de ce matin de Janvier 1100. Le comte, un verre de vin rouge à la main ratifie le traité d'unification du Poitou, enfin le Poitou serait uni comme avant, présent et redeviendrait sa puissance locale d'antan. Il avait avec les autres seigneurs ratifiés le traité d'unification qui en même temps le faisait devenir le suzerain et Comte de Poitiers en attendant l'unification de tout le Poitou. Ils avaient donc réunion aujourd'hui pour parler de l'avenir et des futures actions stratégiques de chacun, il fallait s'organiser pour le bien de tous.
Le comte se mit devant la table où se tenait la carte de la région et regarda la position de chaque seigneurie, quelques tracés avaient déjà été fait et il attendit que les autres seigneurs entrent accueillit par les gardes qui défendaient la place forte.

L'année 1100...une année de renouveau après un éclatement du Royaume de France dont le pouvoir fut accaparé par de multiples seigneurs. Après quelques discussions, des signatures de traité, des unions, des quiproquos, le Seigneur de Vauclair avait décidé de devenir le vassal du Seigneur de Niort qui petit à petit avait pu reconstituer le Comté de Poitiers et s'adjoindre d'autres alliés.
Quittant les rivages de Vauclair, le Seigneur Guvran, plutôt âgé, se rendit vers Poitiers où une grande réunion allait avoir lieu. Il était toutefois préoccupé par l'évolution de son économie, de nombreux bûcherons travaillaient dur et les forges tournaient à bon régime pour que son fief soit florissant.
Il comptait bien faire de Vauclair une plaque tournante du commerce en Poitou mais il fallait y mettre le prix pour cela et de nombreux efforts.

La route fut plutôt calme en direction de Poitiers, il fallait dire que peu de seigneur possédait une armée digne de ce nom actuellement, ils arrivèrent donc assez vite avec son fils pour l'accompagner et fut conduit au lieu de la réunion.
Pour le moment seul son suzerain était présent, Guvran se savait pas vraiment encore s'il serait un bon dirigeant, leur lien était plutôt récent mais il fallait parier sur l'avenir et prendre des risques.

Mon suzerain, le bonjour.
Il semblerait que je sois le premier.

Gael de Niort était là, dans son château, à attendre tout les seigneurs de France, aujourd'hui était la date de l'Unification de la France, ils devaient tous discuter du Royaume, du Roy et de son organisation. Le duc du Poitou était donc paré de ses plus somptueuses tenues, symbole de la richesse poitevine, la couronne siégeant sur la tête du prétendant. Le banquet était donc enfin prêt, prêt à accueillir ses grands visiteurs et à les régaler de mets délicieux qu'il était aller chercher au quatre coin du royaume, des vins de toute les provinces. Il prit place sur le siège de l'hôte au bout du banquet et fit signe aux gardes d'ouvrir la grande porte, il était temps que cela commence.

Un courrier avait donc été envoyé quelques semaines plutôt pour convier les seigneurs:

Du Duc du Poitou,
Comte de Poitiers et d'Angoulême,
Vicomte d'Angoulême,
Prétendant à la couronne de France.

Mes chers seigneurs de France,
Je vous invite le 16 juillet 1109 à venir siéger au banquet du château de Poitiers, qui nous permettra de discuter tous ensemble de l'unification du Royaume de France, nous devons nous unir tout comme le Royaume de Bourgogne s'unit, nous devons aussi être une grande force et un Etat, une nation! Ensemble, seigneurs, la France prospéra, nous ne risquerons plus des invasions étrangères comme il fut le cas il y a quelques décennies avec ces maudits anglois en Normandie. Nous devons reconstruire un royaume puissant comme il était autrefois, pensons encore à ces grands hommes qui ont permit de nous unifier, Clovis, Charlemagne, nous avons besoin d'un nouveau Clovis, d'un nouveau Roi pour nous mener dans un âge d'or.
Chacun doit donc participer à ces discussion et choisir l'avenir du royaume car on ne dirige pas seul, mais tous ensemble ce royaume, c'est ce qui fera son unité et sa force.
J'espère donc vous voir au château de Poitiers ce 16 juillet.

Gael de Niort,
Duc du Poitou,
Prétendant à la couronne de France.

Melar de Joinville , seigneur en Champagne, avait reçu l'invitation, et bien noté qu'il y aurait des pâtés et des poulardes à ce banquet. Il prit donc la route avec quelques soldats d'escorte, pour se rendre en Poitou. De quoi serait-il question ? Le royaume de France, il ne voyait pas trop à quoi cela correspondait.

Gralon de Elzach, respecté et incontesté seigneur d'Elzach, entendant des rumeurs concernant de grandes alliances à l'Ouest, se demanda, dans son petit mais prospère fief, jusqu'où s'étendaient les zones d'influence... et les ambitions... de ces grandes alliances, notamment de celles qui prétendait unir "la France".
Après tout, il était assez proche des régions concernées, et ces alliances, si elles se concrétisaient, le concerneraient au premier plan.

Le seigneur de Rochefort arriva au château de Poitiers cette bâtisse etait tres belle à la hauteur des ambitions du Poitou il était présent dépendant du comte de Poitiers il etait donc arrivé à l'heure ou le soleil s'eclipse

C'est au tour de Kadeg de Brantome de faire son apparition.
Le jeune seigneur qui avait enterré son père il y a de cela quelques années avait réussit a faire éclore l'Ost de brantome en a peine un an.
Il était le vassal de Gael de Niort,un puissant suzerain s'il en est.
Apres plusieurs journée a voyager il arriva enfin au Château de Poitiers où devait se tenir un banquet portant sur l'unification du royaume.
Kadeg n’était pas de ceux qui voulait a tout prit la réunification,les petites guerres,le commerce tout allait bien comme ça sans pour autant s'unir et de se fait,augmenter les taxes et autres impôts que la couronne prélèvera a n'en pas douter.

Plusieurs vassaux étaient déjà présent et le Vicomte salua ses homonymes,le poing sur le cœur en une léger inclinaisons du buste.
Bonjour a vous.
Une inclinaison plus prononcé en direction du suzerain,
Mon seigneur,je suis enfin arrivé a bon port,je pensais ne jamais pouvoir venir a bout de se si long voyage.
Dit il en souriant,il ne restait plus qu'a attendre,les autres et ils pourraient sans doute parler de choses sérieuses ensuite.

Un seigneur arriva vu son blason il etait du perigord région que jadis enfant Melaine avait parcouru il salua donc le messire ainsi que le suzerain comme il se devait

Le tout jeune seigneur de Montpensier, qui espérait devenir Duc d'Auvergne comme le souhaitait son grand père avant lui, arriva au Château. Arrivant, il salua ceux qui étaient déjà arrivé.

Le Sud-Ouest semblait bien peu représenté. Pourtant, la Maison de Niort y était fort active ces derniers temps. Les récentes conquêtes devaient avoir froissées de nombreux Seigneurs.
Tout cela n'est rien. Esprit de Lodève, patriarche de la Famille Lodève, se présenta en tant que nouveau vassal du Comte de Poitiers. Il espérait bien participer aux débats, mais aussi protéger ses vassaux, alliés et intérêts.

Je ne suis plus vraiment jeune désormais, où puis-je m'asseoir ?

le vicomte de Joinville arriva au chateau, salue son vassal le seigneur de Joinville.
il s'annonca puis attendi.

Le comte d’Alsace eu vent du banquet qui devait rassembler la plupart des seigneurs de France.
Nancy ce situant à la frontière du royaume de France et de L’empire Germanique .Il pris donc l’initiative de prendre la route jusqu’au château de Poitiers, accompagné par ces deux plus fidèle amis le Seigneur de Laon ainsi que le Seigneur de Saint Quentin.
Formant une alliance forte d’une dizaine de Maisons ils se devaient d’être présent ne serais-ce que pour se maintenir au courant de l’évolution géographique du royaume.
Une centaine de soldats entourant les trois seigneurs afin d’éviter tous guet-apens ils arrivèrent enfin devant les portes du château.
Laissant Les chevaux sous bonne garde ils prirent la direction de la grande salle afin de rejoindre les différents seigneurs déjà présents.

Mes seigneurs, salutation à vous !

A Gael de Niort, Duc du Poitou, Prétendant à la couronne de France.
A Argan de Tournai, Notre Premier contact avec la France, Comte des Wallons
Aux honorables et très respectables seigneurs Français,
De nous, Veneg De Den Haag, Seigneur de Den Haag et d'Utrecht, Suzerain de Rotterdam et d'Apeldoorn (seigneuries du Comté d'Hollande)

Salutations,

Ayant eu vent de la grande réunion du 16 Juillet 1109 au château de Poitiers, et au vue de nos proches frontières, décidons de prendre la plume en ce jour afin de clarifier notre situation aux yeux du Royaume de France.

La Hollande, par les territoires conquis, est indépendante et souhaite le rester.
Elle est co-géré par les trois seigneurs principaux : Soig de Rotterdam, Ivi de Apeldoorn et nous même Veneg De Den Haag.
Cette dernière est fondée sur l'échange commerciale, l'entraide militaire, et l'envie de faire prospérer paix et économie dans chacune de nos cités.

Notre volonté est donc celle de s'étendre simplement aux territoires de jures ( Comté de Hollande) et de favoriser avec chacune des cités étrangères voisines, la paix.
Constatant admirativement l'ampleur de l'unification des seigneuries françaises, nous sommes ouvert à de nombreuses collaborations et ententes commerciales voir militaires comme ils ont pu avoir lieux dans le passé (traité commercial entre Tournai et Den Haag).

Nous souhaitons que ressorte de votre réunion, un royaume soudé, équilibré, juste, ouvert à la discussion ... une nation allié.
Puisse Dieu vous guider.

En date du 15 Juillet 1109, en la chapelle de Den Haag en compagnie de ses vassaux.

Le vicomte de Laon arriva dans ce beau château de Poitier accompagné de son suzerain le comte d'Alsace et de son ami le seigneur de Saint-Quentin , la réunion était d'importance , le royaume de France était en question ! Les hommes venaient de tout horizon pour participer à cette réunion .

salutations mes seigneurs !

Un convoi aux armes des Vauclair fit son apparition au Château de Poitiers, il transportait le puissant mais fort âgé Comte de La Marche, accompagné de son fils et héritier, le tout protéger par le seconde armée de la Maison Vauclair, des soldats jeunes et à en découdre, la première étant occupée à assiéger Déols.
Une grande réunion sur l'avenir de la France était en question et il était dubitatif sur l'organisation actuelle avec des vassaux un peu partout qui allaient petit à petit se marcher dessus, auraient des prétentions communes et forcément cela risquait de provoquer des conflits intérieurs.
Aider de son fils, le Comte monta les marches menant à la salle où avait lieu la réunion, déjà bon nombre de seigneurs étaient présent et le Comte prit place non loin du Duc du Poitou, après tout il était l'un de ses plus puissants vassaux actuellement.

Bien le bonjour à tous, veuillez excuser mon retard, mon grand âge voyez vous.

Gireg avait entendu qu'une réunion se tenait afin de réunir le plus de seigneurs Français quelque part dans le centre de la France. Il décida de s'y rendre à dos de cheval. Après plusieurs jours de voyage, il arriva aux abords d'un château et aperçu nombre de tentes et d'étendards.

Il avança et se présenta aux présents:

Bien le bonjour Mes Seigneurs, je suis Gireg, Seigneur de Rouen, futur Duc de Normandie si la grâce de Dieu me l'accorde.

Fracan devais se préocupé des affaires internes de la Bretagne il n'avais donc pas pue se rendre à la réunion organisé par la famille de Niot.

N'en était pas moins qu'il avais envoyé une lettre, ne serais-ce que par politesse pour le moins, mais aussi pour convenir d'un rendez vous.

Du Seigneure de Vannes,
actuel Vicomte de Brest de manière provisoire,
future Vicomte de Nante,
future Comte de Vannes,
et future Duc de Bretagne.

Au Seigneur de Niort,
Duc de Poitoux,
Et Prétendant à la couronne de France.

Sincère salutation,

Je souhaite m'excusé de ma non présence à votre réunion, j'avais malheureusement d'autres affaires en cours, qui ne pouvait soufrir de mon absence.

J'aimerais autant que possible avoir néanmoins la possibilité envisageable de potentiellement convenir d'un rendez-vous éventuelement probable,
de manière à compensé mon manquement à cette dite réunion.

Dans l'attente d'une réponse,

Bien cordiallement,

Fracan de Vannes.